À la mort d'Élisa Guizot, en janvier 1833, Élise Moreau écrit une Élégie[3]. François Guizot, alors ministre de l'Instruction publique, l'encourage[4]; ainsi que Nodier, Chateaubriand, Lamartine[5].
En 1853 elle épouse le poète Paulin Gagne; ils fondent en 1854 un journal littéraire Le Théâtre du monde, qui paraîtra de 1854 à 1857[6]; elle y collabore dans chaque numéro. Elle aura diverses récompenses et encouragements de l'Académie française dont le prix Maillé-Latour-Landry en 1842. Son mari et elle-même finiront leurs jours dans la misère[7].
Œuvres
Une destinée, scène de la vie intime, suivi de Mon étoile, paroles de Mlle Élise Moreau, musique par Alphonse Vogel (Maison, 1838) Lire en ligne
Souvenirs d'un petit enfant, contes à la jeunesse (1840)
Rêves d'une jeune fille (chez l'auteur, 1844)
L'Âge d'or: Poésie de l'enfance (Vve L. Janet, 1850; Gedalge, 1863)[8],[9]
La Fille du maçon suivi de Simple histoire d'une famille (Mame, 1851) Lire en ligne
L'anémone du Colisée, imitation en vers d'un fragment de "Rome" (Bonaventure et Ducessois, 1865) Lire en ligne sur Gallica
Vocation ou Le jeune missionnaire (Didier, 1856)
Prologue et épilogue de L'Unitéide, ou la Femme-Messie (poème de Paulin Gagne) Montélimar, 1857
Omégar ou Le dernier homme (Didier, 1859) Lire en ligne sur Gallica
Madame de Bawr, étude biographique sur sa vie et ses ouvrages (Didier, 1861)
L'amie des enfants de Madame Élisa Guizot; Moralités poétiques de Élise Moreau; (Didier 1864) Les Moralités en vers précèdent chaque histoire rédigée par Madame Guizot. Lire en ligne
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