Gonzalve Desaulniers naît le à Saint-Guillaume d'Upton. Il fréquente le collège du Sacré-Cœur, à Sorel, puis le Collège Sainte-Marie de Montréal. Il est admis au barreau en 1895. Entre-temps, Desaulniers gagne principalement sa vie grâce à l’écriture et la politique. Il est journaliste à l’L'Étendard du sénateur François-Xavier-Anselme Trudel, puis au National, hebdomadaire de Montréal, au Canada-Revue d’Aristide Filiatreault, porte-parole des libéraux radicaux de Montréal, à la Revue des deux Frances. Il publie ses premiers poèmes dans la Revue canadienne, le Journal de Françoise[note 1], Le Passe-temps, la Revue populaire et la Revue moderne[1].
En 1908, il est nommé directeur[2] du premier lycée laïc pour filles fondé à Montréal par Éva Circé-Côté et Gaëtane de Montreuil[3].
Sa sépulture est située dans le Cimetière Notre-Dame-des-Neiges, à Montréal[4].
Œuvre
Essais
Le Principe des nationalités, Le Pays, 1864 [lire en ligne]
Poésies
L'Absolution avant la bataille: dédié aux braves de la Butte-aux-Français, 1886 [lire en ligne]
poèmes (« La Fille des bois »…) dans Les Soirées du Château de Ramezay, Eusèbe Senécal, 1900, p. 160-180 [lire en ligne]
Pour la France: à la mémoire de nos morts, Montréal, Beauchemin, 1918 [lire en ligne]
Les Bois qui chantent, Beauchemin, 1930 [lire en ligne]
« Marguerites » et « Mon secret », mis en musique par Achille Fortier, 1916[5]
Articles
« Sir Lomer Gouin: sa vie, son œuvre », La Patrie, , p. 3 [lire en ligne]
Bibliographie
Louis Dantin, «Gonzalve Desaulniers. Les bois qui chantent», Essais critiques, Presses de l’Université de Montréal, 2002
Élie-J. Auclair, «l’Honorable Juge Desaulniers», Mémoires et comptes rendus de la Société Royale du Canada, 3e série, vol. 28, 1934 lire sur Google Livres
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