poète, prosateur, chroniqueur de jazz, ancien directeur de la NRF
Distinctions
Prix Broquette-Gonin (1970) Prix Valery-Larbaud (1983) Prix François Coppée (1983) Grand prix de poésie de la SGDL (1988) Prix Maïse Ploquin-Caunan (1995) Grand prix de poésie de l'Académie française (1997) Prix Goncourt de la poésie (1999) Prix Roger-Kowalski (2013) Prix Roger-Caillois (2019)
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Jacques Réda est poète, auteur de récits en prose, éditeur et chroniqueur de jazz[1]. Il est membre du comité de lecture des éditions Gallimard. Il collabore régulièrement avec Jazz Magazine depuis 1963 et a publié plusieurs ouvrages sur le jazz dont L'Improviste (1980) qui propose une lecture de ce phénomène musical et Le Grand orchestre (2011), consacré à Duke Ellington[2] .
Réda parcourt les pieds à solex. Il a fait à de nombreuses reprises l'éloge de la lenteur dans sa poésie. Daniel S. Larangé met en évidence la manière subtile et discrète par laquelle l'espace urbain est mis au service d'une réflexion poétique et théologique, notamment dans Rue de Terre-Neuve[3].
Prix
1970: prix Broquette-Gonin (littérature) de l’Académie française pour l'ensemble de son œuvre poétique.
1983: prix Valery-Larbaud pour l'ensemble de son œuvre.
1983: prix François Coppée de l’Académie française pour Hors les murs... de Paris
1988: grand prix de poésie de la SGDL (Société des gens de lettres) pour l'ensemble de son œuvre.
1995: prix Maïse Ploquin-Caunan de l’Académie française pour L’Incorrigible
1997: grand prix de poésie de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre.
1999: prix Goncourt de la poésie.
2013: prix Roger-Kowalski-grand prix de poésie de la ville de Lyon.
Daniel S. Larangé, «Fonction spirituelle de l'espace littéraire: une lecture de Rue de Terre-Neuve de Jacques Réda», Ekphrasis vol. 11 numéro 1 (2014), p.85-108.
La version définitive de ces textes est incluse dans L’Herbe des talus, 1984)
Rééd. en version corrigée: coll. Poésie/Gallimard, 2001.
La version définitive de cet ouvrage constitue la dernière partie, «Terminus», de Châteaux des courants d’air, 1986.
Texte repris dans Châteaux des courants d’air, 1986.
La version définitive de ce récit figure dans Recommandations aux promeneurs, 1988.
La version définitive de ces poèmes est incluse dans Retour au calme, 1989.
Reprise de L’Improviste (1980) et Jouer le jeu (1985) dans une nouvelle édition, revue et augmentée.
La version définitive de ces poèmes est incluse dans L’Incorrigible, 1995.
Reprise d’une quarantaine de chroniques parues en 1981-1982 dans Libération.
Bibliographie
Federico Castigliano, «Le divertissement du texte. Écriture et flânerie chez Jacques Réda», Poétique, 167, , pp. 461–476
Federico Castigliano, «Sept questions à Jacques Réda», La Revue littéraire, 42, , pp. 13–18
Bernadette Engel-Roux, Rivage des Gètes. Une lecture de Jacques Réda, Babel éditeur, Mazamet, 1999, 144 p.
Didier da Silva, «Jacques Réda. Une tectonique des sentiments», revue Vies contemporaines, Clermont-Ferrand, no12, automne 1996
Yves-Alain Favre (dir.), «Approches de Jacques Réda», actes du colloque organisé à l'université de Pau le sous la direction d'Yves-Alain Favre, textes réunis par Christine Van Rogger Andreucci, Centre de recherche sur la poésie contemporaine, Publications de l'université de Pau, Pau, 1994, 140 p.
Marie Joqueviel-Bourjea, Jacques Réda, la dépossession heureuse: habiter quand même, L'Harmattan, 2006 (ISBN2-296-00621-3)
Jean-Michel Maulpoix, Jacques Réda, coll. «Poètes d'aujourd'hui» no250, Seghers, Paris, 1986, 192 p.
Robert Melançon, «Notes sur des poèmes de Jacques Réda», Études françaises, vol.33, no2, , p.77-87 (lire en ligne)
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