Jules Lafforgue, né à Gourdon dans le Lot le et mort dans la même cité le [1], est un poète, écrivain et journaliste français. Afin d'éviter toute confusion avec son illustre homonyme, il prend, à partir des années 1910, le pseudonyme de Pierre Calel. Il écrira souvent avec sa sœur qui avait quant à elle pris celui d’Alida Calel.
Ne doit pas être confondu avec Jules Laforgue.
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Après son baccalauréat passé au lycée Gambetta à Cahors, Jules Lafforgue vient à Paris. Il a été le fondateur du Cabaret des noctambules à Paris.
En , au camp de Châlons-sur-Marne, il fonde L'Écho des gourbis. Il dirige ensuite ce journal de tranchées dont le trente quatrième et dernier numéro parut en . L'idée retentissante de permissions pour les Poilus fut émise dans le no 5 de .
Avec Alida, Pierre Calel publie des chroniques régulières dans Le Courrier du Centre de Limoges. Ces chroniques sont reprises dans Semaines quercynoises en 1933 où publient quelques figures, célèbres ou parfois oubliées du Quercy, comme Armand Lagaspie, Touny-Lerys, Henry Jagot, Gustave Guiches, Gustave Fréjaville, Léon Lafage, Roger Couderc, Georges de La Fouchardière, Élie Richard (rédacteur en chef de Paris-Soir), l'abbé Henri Bremond, Philippe Gaubert, Émile Laporte, Rosita Matza, Pierre Benoit...
Jules Lafforgue est l'auteur du poème Les Vieilles de chez nous. Ce poème mis en musique par Charles Levadé devint par la suite une chanson populaire.