Marcelle Roy détient un baccalauréat en arts de l'Université Laval (1956)[1].
Elle travaille à la revue Recherches amérindiennes au Québec en plus de collaborer aux revues Questions de culture, Arcade, Moebius, Liberté, Estuaire et L'Arbre à paroles[1].
En poésie, elle publie plusieurs titres, soit Traces (VLB Éditeur, 1982), L'Hydre à deux cœurs (Éditions du Noroît, 1986), La ville autour (Éditions du Noroît, 1995), Longitudes (Éditions du Noroît, 1998), Pattes d'oie (Éditions du Noroît, 2003) ainsi que Lumière aux aguets (Éditions du Noroît, 2008)[2],[3],[4],[5],[6].
En 1983, Marcelle Roy est finaliste du Prix des jeunes écrivains du Journal de Montréal[1],[7].
Elle est membre de l'Union des écrivaines et des écrivains québécois[1].
L'Hydre à deux cœurs, avec sept dessins de l'auteure, Montréal, Éditions du Noroît, 1986, 92 p.(ISBN2890181316)
La ville autour, avec des oeuvres de Paul Lacroix, Montréal, Éditions du Noroît, Saussines, Cadex Éditions, 1995, 65 p.(ISBN2-89018-317-3 et 2-905910-59-3)
Longitudes, Montréal, Éditions du Noroît, 1998, 68 p.(ISBN2-89018-413-7)
Pattes d'oie, Montréal, Éditions du Noroît, 2003, 77 p.(ISBN2-89018-518-4)
Lumière aux aguets, Montréal, Éditions du Noroît, 2008, 75 p.(ISBN978-2-89018-637-8)
Prix et honneurs
1983 - Finaliste: Prix des jeunes écrivains du Journal de Montréal[7]
René Dionne, «Traces de Marcelle Roy», Lettres québécoises: la revue de l’actualité littéraire, no32, , p.67–67 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
Hugues Corriveau, «Chants solitaires / Jean-Simon DesRochers, Parle seul (avec sept illustrations d’Andrée-Anne Dupuis Bourret) Montréal, Les Herbes rouges, 2003, 72 p., 14,95 $. / Marcelle Roy, Pattes d’oie, Montréal, le Noroît, 2003, 80 p., 15,95 $. / Danyelle Morin, Cantejondo. Un chant profond, de vous à moi (préface de Bruno Roy), Ottawa, David, 2003, 196 p., 13 $.», Lettres québécoises: la revue de l’actualité littéraire, no112, , p.34–35 (ISSN0382-084X et 1923-239X, lire en ligne, consulté le )
Gilles Toupin, «Amour, catastrophes et hydre», La Presse •,
David Cantin, «Les mots souples du poème», Le Devoir •, , p. F3 •
Réginald Martel, «Un prix littéraire à Philippe Haeck pour "la Parole verte"», La Presse •,
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