Abdellah El Fassi est né le à Fès, il décède le d’un diabète doublé d’une hémiplégie. Il a été vizir, magistrat, écrivain et poète au Maroc.
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Vizir |
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Naissance | |
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Décès | |
Nationalité | |
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Fratrie | |
Conjoint |
Zohr bint Abbas el-Fassi |
Enfants | |
Parentèle |
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Sa formation est commune à celle de l'élite fassie de cette époque : il passa par le Msid (école coranique) avant d’intégrer la prestigieuse université Quaraouiyine.
Il fut nommé vizir par intérim des affaires étrangères.
Il fut nommé par le sultan Moulay Abd al-Hafid ambassadeur du Maroc à Paris du au . En compagnie de Mohammed El Mokri, vizir des finances, ils étaient chargés de négocier les contentieux qui opposaient les deux pays.
Lorsqu’il revint au Maroc, il occupa le poste de magistrat dans la juridiction de Fès, puis fut notamment grand vizir du Sultan Mohammed V en 1930 sous le protectorat.
Son père s’appelait Abdeslam Ben Allal El Fassi. Il mourut prématurément et c’est son grand-père Allal El Fassi (c’est aussi l’arrière-grand-père du leader du Parti de l'Istiqlal, Allal El Fassi) qui l’éduqua. Son frère était Abdelouahed El Fassi. Abdellah épousa Zohr bint Abbas el-Fassi[1], sa cousine. Il a eu cinq enfants :
Son petit-fils est Abbas El Fassi, Premier ministre marocain.