Adlyne Bonhomme est native de Petit-Goâve , et auteure de plusieurs recueils de poèmes[1]. En 2017 elle a dirigé une anthologie de poésie intitulée Écrire pour ne pas oublier , en mémoire des victimes de l’ouragan Mathieu. En mai 2019, elle publie son premier recueil personnel L’éternité des cathédrales aux Éditions de la Rosée[2],[3]. Elle participe à de nombreuses éditions de Marathon du Livre et d'autres festivals littéraires d'Haïti. Elle contribue à des revues en ligne telles que Capitale des mots et Plimay. Son poème La complexité de nos mains a été traduit en arabe par Hatim Al-Ansary le 27 septembre 2020 dans Alqasidah.
Adlyne Bonhomme a été l'invitée d’honneur de la troisième édition du Festival pwezi solèy en mars 2020[4].
Œuvres
Individuelles
L’éternité des cathédrales. Gonaïves: Éditions de la Rosée, 2019.
Collectives
Écrire pour ne pas oublier, sous la direction d’Adlyne Bonhomme. Pétion-Ville: Éditions Inferno, 2017.
«La complexité de nos mains» Transcendance, recueil de poèmes. La Différence (Édition 2019). Lyon: Vivlio, 2019.
«Entre les mains du temps». Voix de femmes, Anthologie de poésie féminine contemporaine. Textes sélectionnés par Dierf Dumène et Raynaldo Pierre-Louis. Port-au-Prince: Plimay, 2020[5].
«L’ombre d’un zombi», récit. Une soirée haïtienne, sous la direction de Thomas C. Spear. Montréal: CIDIHCA, 2020: 125-129.
Distinction et Prix
2019, Nominée pour le Prix Maurice Koné, pour «La complexité de nos mains».
2019, Le prix de poésie des Éditions de la Rosée, pour L’éternité des cathédrales.
2020, Parmi les lauréats du prix de la nouvelle «Le déjoué de mon quartier» organisé par les éditions C3, pour «Monologue d’un fou».
2020, Invitée d’honneur à konbit atis solèy (KAS), événement littéraire et artistique organisé à Cité Soleil.
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