Lefèvre se fit recevoir avocat, cultiva la poésie et les lettres, puis donna, pour vivre, des leçons particulières.
Cet homme d’une droiture et d’une vertu tout à fait stoïciennes s’est peint lui-même dans l’article « gouverneur » qu’il a donné, avec « faiblesse », « folie » et « gouvernante », à l’Encyclopédie.
On cite de lui les Mémoires de l’Académie des sciences de Troyes en Champagne (Liège, 1744). On lui attribue le Pot-Pourri (1748) et Dialogue entre un curé et son filleul (1767).
Sources
Pierre Larousse, Grand Dictionnaire universel du XIXesiècle, vol. 10, Paris, Administration du grand Dictionnaire universel, p.1477.
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