D'origine russe, les parents de Mandel émigrent du l'Ukraine vers le Canada au début de leur adolescence. Après avoir servi au cours de la Seconde Guerre mondiale, Mandel étudie à l'Université de la Saskatchewan et y obtient son baccalauréat en 1949 et sa maîtrise en 1950. Il obtient son doctorat en 1957 à l'Université de Toronto. Il enseigne la littérature anglaise à l'Université de l'Alberta et à l'Université York[1],[2].
Œuvre
Mandel est l'auteur de plusieurs ouvrages de critique littéraire et de neuf recueils de poésie. Il a contribué à faire reconnaître la fonction de la critique avec Criticism: the Silent-Speaking Words (1966), Another Time (1977) et Contexts of Canadian Criticism (1971)[3].
Récompenses
1967: Prix littéraire du Gouverneur général pour An Idiot Joy
1973: Prix littéraire du Gouverneur général pour Lions on her Face
Notes et références
Colin Boyd, «Eli Mandel», sur L'Encyclopédie canadienne (consulté le )
(en) Dagmar Skamlová, «Eli Mandel», sur The encyclopedia of Saskatchewan (consulté le )
Michel Veyron, Dictionnaire canadien des noms propres, Louiseville (Québec), Larousse, , 764p. (ISBN2-920318-06-3), p.659
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