Fernand Hauser est un journaliste et poète français, né à Toulon le , mort le à Ville-d'Avray[1].
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Issu d’une famille juive alsacienne, il fonde en 1897 la revue Lutèce (huit numéros) puis en 1900 une gazette politique et littéraire, La Pie. Il collabore à de nombreux journaux, dont L'Écho de Paris, La Presse et Le Journal, où il est rédacteur parlementaire.
Il est officier de l'armée française pendant la Première Guerre mondiale. Marié à Jeanne Haguenauer, il est père de deux filles (Simone[2] et Fanchette) et de deux fils (Claude et Jacques).
Membre de la Société des gens de lettres, vice-président de la Société des poètes français, secrétaire du Félibrige de Paris, il publie des poèmes, des récits, des romans, des pièces de théâtre, des notices biographiques. L’Affaire Syveton plonge dans l'affaire des fiches tandis que L'Affaire Jeanne Weber décrit un fait divers. Il écrit également de nombreux articles sur la situation politique aux Comores.
Il est enseignant à l'École supérieure de journalisme de Paris.
Fernand Hauser est chevalier de la Légion d’honneur.
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