Alice Lafont (1872-1954) née Montigny, connue comme Henry Ferrare en littérature est une autrice dramatique et lyrique, poètesse, librettiste et traductrice française.
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Ne pas confondre avec Henri Ferrare [(d)] (1905-1952), poète, traducteur et critique, pseudonyme de Henri-Auguste Zbingen.
Alice Marie Léontine Montigny est la fille de Léon Montigny, journaliste[2], et de Caroline Rémaury, pianiste et la nièce et filleule d'Ambroise Thomas[3].
De 1884 à 1890, elle suit sa mère à Vienne, son éducation musicale lui permet d'assister trois fois par semaine aux représentations de l'Opéra de Vienne dans un loge à côté de celle des Vetsera[4].
1894: Maison vendue, comédie en collaboration avec Maxime Grey, jouée par Wanda de Boncza[6].
1903: La Momie, pantomime, musique de scène de Louis Aubert, théâtre des Mathurins, [7]
1904 : Chrysothémis, poème adapté de La Momie, musique de Louis Aubert, créé au casino de Vichy, [8],[9].
1906: La Brume, théâtre du Casino Grand-Cercle à Aix-les-Bains[10].
1907: La Lime, mimodrame, musique d'André Fijan, au Moulin-Rouge le [11].
1908: Le Cierge, au théâtre des arts interprétée par Renée du Minil[12],[13].
1909: La Chèvre de M. Seguin, ballet d'après Alphonse Daudet, musique de Benjamin Godard, au casino de Vichy[14],[15].
1909: La Fille du Tourneur d'ivoire, poème en deux actes, d'après Jean Bertheroy, musique de Camille Saint-Saëns, à l'Opéra-Comique, [16],[17].
1911: Madame Groslin, en collaboration avec Ernest Gaubert d'après Le Curé de Villages de Balzac au Nouveau-Théâtre d'Art[18].
1912: La danseuse de Pompéi, opéra-ballet avec Henri Cain, d'après le roman de Jean Bertheroy, musique de Jean Nouguès à l'Opéra-Comique, avec Marguerite Carrée, [19],[20],[21],[22].
1920: Dans l'Ombre de la Cathédrale, avec Maurice Léna, d'après Vicente Blasco Ibáñez, musique de Georges Hüe[23], à l'Opéra-Comique, [24],[25].
1927: Dans les Orangers, pièce d'après Vicente Blasco Ibáñez, créée au théâtre de Monte-Carlo, interprétée par Madeleine Roch[26],[27],[28], et reprise le à l'Odéon[29],[30].
1933: Un revenant, sketch parlé et chanté au Cercle littéraire français [31].
--: La Maison du péché, drame lyrique, tiré du roman de Marcelle Tinayre, musique d' Alexandre-Georges (non représenté)
Articles de presse
«Ambroise Thomas - Souvenirs intimes», Les Annales politiques et littéraires, no1748, , p.399 (lire en ligne, consulté le ).
«Massenet et Ambroise Thomas», La Revue de Paris, t.1, , p.71-78 (lire en ligne, consulté le ).
«Souvenirs abolis (Vienne 1884-1890)», La Revue de Paris, , p.225.
«Des lettres inédites de Saint-Saëns», Candide, no625, (lire en ligne, consulté le ).
«D'Ambroise Thomas à Lindbergh», Le Monde illustré, no4190, (lire en ligne, consulté le ).
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