À l'âge de trois ans il part une première fois pour le Mozambique et ne retourne au Portugal qu'à l'âge de 26 ans. Il revient au Mozambique après l'indépendance en 1975. Il y travaille comme traducteur, professeur, journaliste et fonctionnaire aux Chemins de fer du Mozambique. Il dirige également le département éditorial de l'Institut national du livre et du disque[1].
Il collabore à plusieurs périodiques au Mozambique, au Portugal et au Brésil, tels que Sulco, A Voz de Moçambique, O Brado Africano, Notícias, Sul, Caliban et Itinerário[1].
Sélection de publications
Antologia dos modernos ficcionistas cubanos; contos e excertos de romances (traduction de l'espagnol, 1972)
Aforismos (traduction de Aphorismen par Georg Christoph Lichtenberg, 1974)
A rã viajante (traduction et adaptation d'un ouvrage pour la jeunesse, 1980)
A formiga Cláudia (traduction et adaptation d'un ouvrage pour la jeunesse, 1980)
A criança da Namíbia (adaptation, 1984)
Poemas (1999, posthume)
Notes et références
(pt) « Fonseca Amaral », Infopédia, Porto Editora, Porto, 2003-2020, [lire en ligne]
Annexes
Bibliographie
(en) Patrick Chabal, The Post-colonial Literature of Lusophone Africa, Northwestern University Press, 1996, 314 p. (ISBN978-0810114234)
(pt) Luís Patraquim, « A Esquina do tempo. João Fonseca Amaral », in Savana(pt), , à télécharger
(pt) Nelson Saúte (dir.), « Fonseca Amaral », in Nunca mais é sábado: antologia de poesia moçambicana, Dom Quixote, 2004, p.186(ISBN972-20-2398-5)
(pt) Nelson Saúte, « E o Gungunhana vende frutas numa banca do bazar », O País, , [lire en ligne]
Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.
2019-2025 WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии