Jules Tellier entre à l’université en 1882 et devient professeur à Cherbourg, à Langres, à Constantine et à Moissac (1885-1887). Puis il se rend à Paris et collabore au journal Le Parti national.
Il meurt le 29 mai 1889 de la fièvre typhoïde à l'hôpital de Toulouse, alors qu'il rentrait d'un voyage en Algérie et en Espagne.
Le musée d'art moderne André-Malraux du Havre conserve un buste de Jules Tellier par Antoine Bourdelle (1895).
Henriette Charasson, Jules Tellier, 1863-1889, Paris, Mercure de France, 1922.
Maurice Martin Du Gard, Jules Tellier, Les Amis d'Édouard no93, 1925 (cet texte est précédemment paru en une des Nouvelles littéraires du ).
G. Jean-Aubry, Essai sur Jules Tellier, précédé d'une préface de Francis de Miomandre, Paris, E. Sansot, 1904.
Maurice Barrès, Discours à la bien-aimée, discours prononcé au Havre, square saint-Roch, le , pour l'inauguration du Monument à Jules Tellier réalisé par Antoine Bourdelle.
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