Laura Oliva est née à Naples et épousa, en 1840, le juriste et homme d'état italien, Pascal-Stanislas Mancini, représentant du Risorgimento et cofondateur de l'Institut de droit international [2]. Elle écrivit des poèmes variés et anima, à partir des années 1840, un salon littéraire où bourgeois et nobles napolitains libéraux se retrouvaient et conversaient autour du théâtre, de la littérature ou des arts [3]. Après la révolution de 1848, la famille déménagea à Turin. Bon nombre de ses poèmes tournaient autour d'événements politiques de son époque (voir unification italienne par exemple) et ce, spécialement après 1860 [2].
Sa fille, Grazia Pierantoni-Mancini, mariée au juriste Augusto Pierantoni, s'est également illustrée dans l'écriture et la poésie.
Dans la ville d'Avellino (Campanie), une rue lui rend hommage et porte désormais le nom de Laura Beatrice Mancini. Il existe également une via Laura Mancini Oliva à Naples.
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(it) Francesco de Sanctis, Nino Cortese, Opere complete, A. Morano, 1930, pag. 422
(de) «Mancipation», sur retrobibliothek.de (consulté le )
(en) Maria Malatesta, Society and the Professions in Italy, 1860-1914., Cambridge University Press, (ISBN0-521-89383-6), p. 79
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