Li Yi (chinois 李益, pinyin Lǐ Yì), ou Li Y, né en 748, mort en 829, est un poète chinois de l'époque Tang dont trois des poèmes figurent dans le recueil Trois cents poèmes des Tang. Il fut gouverneur d'une cité importante avant de prendre une retraite prématurée et jouissive[1].
Cet article est une ébauche concernant un poète et un écrivain chinois.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Pour les articles homonymes, voir Li.
Dans ce nom, le nom de famille, Li, précède le nom personnel.
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nom dans la langue maternelle | |
Prénom social | |
Activités | |
Famille |
Li clan of Longxi (d) ![]() |
Père | |
Enfants |
modifier - modifier le code - modifier Wikidata
C'est le marquis d'Hervey de Saint-Denys en 1862[2] puis à sa suite le sinologue anglais Herbert Giles qui le firent découvrir en Occident. Le plus fameux de ces trois poèmes fut traduit de l'anglais en 1907 par Henri-Pierre Roché[3] puis mis en musique par Albert Roussel (opus XLVII) en 1932.
Sous la lune le palais résonne
Des sons, des luths et des chansons.
Il me semble que l'on a rempli
La clepsydre de la mer entière
Pour faire que cette longue nuit
Ne finisse jamais pour moi.
— Favorite délaissée
露湿晴花春殿香
月明歌吹在昭阳
似将海水添宫漏
共滴长门一夜长
— 宫怨