Léon-Gabriel Gros est un poète et critique de poésie français, né le aux Arcs-sur-Argens dans le Var, et mort le à Aix-en-Provence[1].
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Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Léon Gabriel Gros |
Nationalité | |
Activités |
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Prix Dumas-Millier (1975) |
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Littéraire, il fait son hypokhâgne au lycée Thiers de Marseille. Il contribue au journal Fortunio de Marcel Pagnol, et entame une licence d'anglais à l'Université d'Aix-Marseille[2].
Dans Raisons de vivre, Saint-Jean-du Desert, Corps glorieux (1945), Elegies augurales (1954), il a tente de capter la "Parole haletante comme les louves",
cherche cette depoulle
D'Archange que l'amour le plus bas fait surgir.
Sa poesie, marquee par le surrealisme et l'influence de Pierre Jean Jouve, doit beaucoup egalement a son commerce avec les elizabethains et les poetes metaphysiques anglais (John Donne), dont il est un excellent traducteur. On lui doit deux volumes d'edudes sur les Poetes contemporains (1944-1948). Il est journaliste a Marseille, qu'il n'a guere quitte depuis sa jeunesse.
L’Académie française lui décerne le prix Dumas-Millier en 1975 pour l'ensemble de son œuvre.