Marc Eigeldinger, né le à La Chaux-de-Fonds et mort le à Neuchâtel, est un poète suisse d'expression française et professeur de littérature française.
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Naissance |
La Chaux-de-Fonds |
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Décès |
Neuchâtel |
Distinctions |
Prix Henri-Mondor (1975) |
Langue d’écriture | Français |
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Marc Eigeldinger est le fils d'André-Charles un horloger et de Louise Rieckel[1]. Il a fait des études de lettres à Neuchâtel où il a obtenu un doctorat en 1943[1].
Pour ce poete gnostique, la poésie "est... premice de la Parole et, dans sa trajectoire difficile, elle approche de l'impossible, ce porche du Surnaturel". Il a publie plusieurs recueils : Le Pelerinage du silence (1941), Le Tombeau d'Icare (1948), Premices de la parole (1953), et plusieurs essais sur la poésie : Le Dynamisme de l'image dans la poésie francaise (1943), Poésie et tendances (1945), Le Platonisme de Baudelaire (1951).
Entre 1943 et 1946 il a été professeur à l'école supérieure de commerce de La Chaux-de-Fonds puis professeur de littérature française au gymnase de 1946 à 1963[1]. Enfin il a été professeur à l'université de Neuchâtel de 1963 à 1983 (suppléance jusqu'en 1985)[1].
L’Académie française lui décerne le prix Henri-Mondor en 1975 pour l'ensemble de son œuvre.