Il poursuit des études ecclésiastiques au séminaire russe de Nazareth, puis à Poltava[1]. En 1911, il se rend aux États-Unis, où il s'installe jusqu'en 1931, y devenant ainsi un des plus brillants représentants de la diaspora arabe dans ce pays[1]. Il rentre au Liban, à Baskinta, en 1932[1]. Il meurt finalement le à Beyrouth d'une pneumonie.
Pour ses études universitaires, il a vécu à Rennes, en France, 4 mois en 1919[2]. Il parle aussi de ce séjour à Rennes dans son livre de mémoire, Sab'oun (p.126).
Comme son maître et ami Gibran Khalil Gibran, Naimy souhaitait que le monde arabe réalisât une «synthèse de la civilisation spirituelle de l'Orient et de la civilisation matérielle de l'Occident»[1]. Dans son ouvrage de critique littéraire, Al-Ghirbal (Le Crible) (1923), il définit ainsi sa propre conception de la poésie: «Elle doit exprimer ce que voit le regard intérieur du poète et ce qui mûrit en son cœur, au point de devenir une réalité objective dans sa vie»[1]. Naimy a écrit un total de 99 livres. Personnalité littéraire importante du Liban et du Moyen-Orient, son œuvre principale reste Le Livre de Mirdad[3].
voir aussi
Joseph Lebbos, Mikhail Naimy, critique littéraire (Al-Machriq, année 84, tome 1, janvier/), p.201-224[4].
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