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Richard Rowlands, Richard Verstegan, Richardus Versteganus ou Richard Verstegen, né vers 1550 à Londres et mort en 1640 à Anvers (Belgique), est un agitateur politique, un historien et archéologue, un polémiste des plus virulents, un poète, un traducteur, un graveur et peintre, un orfèvre, un marchand de drap et un imprimeur. Comme auteur, il écrivait en langues latine, anglaise et néerlandaise[1],[2].

Richard Verstegen
Illustration, attribuée à Johannes Wierix, qui l’aurait gravée d’après un dessin de Verstegen, du Theatrum Crudelitatum haereticorum nostri temporis de 1587. Elle représente des atrocités alléguées des protestants
Nom de naissance Richard Rowlands
Alias
Richardus Versteganus
Richardus Verstegen
Richard Verstegen
Richard Verstegan
Naissance vers 1550
Londres
Royaume d'Angleterre
Décès 1640
Anvers
 Pays-Bas espagnols
Activité principale
étude de l'Antiquité
espionnage
historiographie
littérature
Distinctions
pensions accordées par :
le pape Grégoire XIII
le gouverneur des Pays-Bas espagnols, Farnèse
Auteur
Langue d’écriture anglais
latin
néerlandais
Mouvement Contre-Réforme
Genres
Histoire ancienne
Écrits polémiques
Pamphlets
Poésie

Biographie



Famille, enfance et études


Bien qu’il revendiquât une ascendance noble[2],[3] et que ses amis l'appelassent « vir nobilis », il était le fils d'un tonnelier[4], peut-être de John Rowlands[5]. Il passa sa jeunesse en Angleterre sous le nom de Richard Rowlands. Selon ses propres dires, son grand-père, Theodore Ro[w]land Versteghen, un réfugié politique originaire de Gueldre[6], s'était établi en Angleterre, à Londres, dans la paroisse de Sainte-Catherine, près de la Tour[7],[4], dans le but d’échapper à la lutte pour le pouvoir entre Charles d’Egmont et Philippe le Beau[3],[8]. Le nom de famille « Rowlands » serait une anglicisation du patronyme[9] « Roelantsz[oon] », c’est-à-dire : fils de Roland.

« Rowlaunde » aurait étudié l’histoire ancienne d'Angleterre et les langues anglo-saxonne et gotique au Christ Church à Oxford à partir de 1564[5],[10],[4]. Le contrôle strict du respect de la législation sur la religion vers 1570 fit qu’il dut quitter l'université avant de pouvoir obtenir un diplôme[11],[10],[12]. C'est au cours de ses études qu’il devint un catholique fervent. De retour à Londres, il entra en apprentissage chez un orfèvre, Philip Cratell. Dès 1574, il était membre à part entière de la Société des Orfèvres (Company of Goldsmiths), ainsi que bourgeois de Londres[11]. Il traduisit un guide touristique allemand, publié en 1576[13].


Exil en France et en Italie


Peu après l'exécution par le régime anglican du jésuite Edmond Campion, en 1581, ainsi que de plusieurs prêtres séculiers, à Smithfield, Verstegen imprima, clandestinement, un pamphlet où il les vénère comme des martyrs[14]. Toutefois, sa complicité dans la publication de cet ouvrage étant découverte, il dut quitter le pays. Seulement depuis lors, il employait le nom de famille Verstegen ou Versteghen, orthographié comme « Verstegan » par les anglophones et latinisé en « Versteganus[15] ».

Ensuite, on trouve des traces de son passage à Rouen, à Paris, à Rome et à Reims[16], villes où il fut impliqué dans la publication de livres et de gravures qui ne manqueront pas d'attirer l’attention de l'opinion publique européenne sur la persécution des catholiques sous Élisabeth Ire d'Angleterre, ce qui lui valut d’ailleurs de se faire emprisonner à Paris, en janvier 1584, pour une courte période, à la demande de l’ambassadeur anglais, Sir Edwin Stafford, qui, après avoir conclu que les illustrations étaient une insulte à l’adresse de la reine d'Angleterre, avait exigé la saisie de l’édition[17],[10]. Par l’entremise du cardinal Allen et du nonce apostolique Ragazzoni, il fut relâché, après quoi il se rendit à Rome pour y supplier le pape Grégoire XIII de lui accorder un soutien financier en tant que réfugié pour des raisons de foi[10],[18]. Si le pape Grégoire XIII refusa initialement (le ), sans doute à cause de l’impertinence de Verstegen[10], plus tard, celui-ci obtint de lui une pension, qui lui fut payée jusqu’en avril 1585[19]. Le pamphlet, dont l'édition française avait été saisie, fut publié à Rome, en 1584[10].


Exil aux Pays-Bas espagnols : Anvers



Piste et espion au service de l’Espagne

Vers 1586, après la mort du pape, qui avait été son protecteur, et, sans doute, après un long séjour en France, Verstegen s’établit à Anvers, où il passera le reste de sa vie[19]. Sous l’impulsion du duc de Parme, le roi d’Espagne lui accorda, à partir du , une pension de trente couronnes, qui ne lui furent pas toujours payées à temps[20],[21]. À Anvers, il travaillait comme graveur, éditeur, informateur, contrebandier de livres, journaliste[21] et même comme marchand ayant, à partir de 1612, temporairement le droit exclusif d’importer le drap anglais aux Pays-Bas espagnols[22],[21]. C’est là qu’il publia, en 1587, un ouvrage qui faisait beaucoup d'impression[23] : le Theatrum crudelitatum haereticorum, traduit en français l’année suivante[24], illustré par Johannes Wierix de gravures, qui étaient visiblement inspirées des fresques de Cavallieri. Les dessins préparatoires auraient été faits par Verstegen même[25],[26],[10]. Les gravures représentent les tortures qu'auraient subies les catholiques en Angleterre sous Henri VIII, en France sous les Huguenots et aux Pays-Bas sous les gueux[23].

Les jésuites anglais, qui voulaient mieux combattre et réfuter l’argumentation du Protestantisme, lui permirent de prendre connaissance des ouvrages écrits par les « hérétiques » calvinistes, prohibés par l’église catholique[27]. Le , le prêtre Henry Walpole, qui représentait temporairement les intérêts des émigrants anglais à Bruxelles, demanda, à cet effet, l’autorisation au jésuite Creswell, recteur du Collège anglais de Rome. Après avoir réitéré la requête, le , les jésuites obtinrent finalement[28], en 1591[27], la permission pour Verstegen. Des circonstances imprévues firent que non les calvinistes anglais mais ceux des Pays-Bas septentrionaux devinrent la cible principale de ses attaques[28].

On sait qu'en 1590, il était agent à Anvers du cardinal anglais[29], Allen, et qu’il faisait fonction de personne interposée pour la correspondance secrète entre les papistes d’Angleterre et les émigrants anglais[30]. On est particulièrement bien renseigné à son sujet pour les années 1592 à 1595. De l'estime que l'on portait à Verstegen témoigne le fait qu’il recevait, temporairement et sur les ordres personnels de Philippe II, son allocation en direct des fonds secrets de l’armée, le Trésor espagnol étant vide. De fait, il était le dirigeant du réseau d’espionnage espagnol en Angleterre. Il recevait, copiait ou résumait les lettres et rapports des missionnaires en Angleterre, dont il assurait la traversée sain et sauf et à qui il procurait de faux passeports[21].

Il écrivit plusieurs traités politiques ou polémiques et répondit, bien qu’anonymement, à la proclamation royale du (A Declaration of great Troubles pretended against the Realme) par deux écrits de 1592, aussi violents que controversés, contre l’homme d'État anglais Burghley, à savoir : An advertisement written to a secretarie of my L. treasurers of Ingland et A Declaration of the True Causes of the Great Troubles, sur lesquels Francis Bacon a formulé une réplique[21].

Il était l'un des principaux responsables de l'édition et de la publication d’un ouvrage polémique sur la succession anglaise, publié sous le pseudonyme Dolmaan qui couvrait, à part Verstegen, plusieurs autres auteurs, dont Robert Persons[21]. Par ce traité controversé de 1594, Verstegen se mêlait des affaires anglaises : la succession anglaise s’annonçant, il prit parti pour Isabelle, contre les partisans catholiques écossais de Jacques VI[31]. Toutefois, les auteurs étant démasqués par les exilés pro-écossais, ceux-ci, indignés, informèrent le gouvernement anglais de ce qu’ils considéraient comme un morceau inacceptable d’intrigue jésuitique et de politique espagnole. Ils ne voulaient reconnaître que l’héritier légitime, même si celui-ci était protestant. Verstegen et les siens, raisonnant dans l’esprit des monarchomaques, prétendaient que le peuple, représentant le bien commun, a le droit de constater l'impossibilité de régner d’un roi pour des raisons précises, telles que la religion[21].

Le rôle d'intermédiaire de Verstegen prit fin vers 1601, sans doute à la suite de l'effondrement, faute d'argent, du service d'espionnage espagnol[32],[33]. Pourtant, il ne cessait de fulminer contre les calvinistes dans les ouvrages édifiants qu’il avait commencé à publier à partir de 1599 et dont l'un est un recueil de poésie de 1601, qui contient des odes écrites à l'instar des sept psaumes pénitentiels : Odes in imitation of the Seaven Penitential Psalms[32]. Il continua à traduire, en anglais, des œuvres comme les vers de la publication polyglotte Amorum Emblemata d’Otto Vaenius, de 1608[34].

En 1605, il publia, à Anvers, une étude de l'antiquité anglo-saxonne, qui non seulement sera rééditée plusieurs fois, et cela jusqu’en 1673, mais dont le matériel, adapté et augmenté pour ce qui concerne l’histoire des Pays-Bas, réapparaît dans un ouvrage, de 1613, sur l'antiquité néerlandaise[32]. Par cette étude, il essayait de démontrer la descendance germanique des Anglais ; cette théorie ne faisait pas l’objet d’une acceptation générale, l'image la plus répandue étant, à l’époque, celle d'une origine exclusivement celte, britannique[34],[32].


Citoyen intégré dans le tissu social des Pays-Bas méridionaux

En mai 1610, Verstegen, déjà âgé d’environ soixante ans, se remaria avec une dame patricienne d’Anvers, Catharina de Sauchy[34]. Après ce mariage, il s’investit entièrement dans la société des Pays-Bas méridionaux, et cela encore pendant trente ans ; un fait si exceptionnel que les biographes anglais ont longtemps cru à l’existence de deux Verstegen : l’un aurait été anglais, l’autre néerlandais[35].

Quelque part entre 1609 et 1614, sa pension fut annulée. Il continua pourtant à rendre des services dans le domaine de l'espionnage, ce qui conduisit, de nouveau, au paiement d'une rétribution, ne fût-ce que partielle. Jusqu’en 1617, il parcourut la République pour le compte de Manuel Sueyro, chef du service d'espionnage espagnol aux Pays-Bas[34].

De 1617 jusqu’à 1630 environ, Verstegan était un auteur prolifique en langue néerlandaise, produisant, entre autres, des épigrammes, des études caractérielles et des ouvrages polémiques. En outre, il écrivit des commentaires journalistiques, des satires et des éditoriaux pour les Nieuwe Tijdinghen (Les Nouvelles) imprimées à Anvers par Abraham Verhoeven, de 1619 à 1629, ce qui fait de lui l'un des premiers journalistes que l'on connaisse en Europe.

Des amitiés que Verstegen entretenait à cette époque, témoigne, entre autres, le liminaire d'Erycius Puteanus, écrit pour la première série d’épigrammes de Verstegen, de 1617, dans lequel, par de belles paroles, il chante les louanges de son ami[36].

La plupart des ouvrages qu'il produisit à partir de cette date sont des satires anticalvinistes, dont deux manifestent un caractère politique et historique, comme c'est le cas pour De Spiegel der Nederlandsche Elenden de 1621. Cet ouvrage donne un bref historique de la période entre 1559 et 1621, vue par les yeux d'un habitant des Pays-Bas espagnols. Verstegen trouva un nouveau prétexte pour vitupérer contre les calvinistes et la Hollande : il reprochait aux Provinces-Unies que la plus vieille église et la plus récente, c'est-à-dire celle des catholiques et celle des remontrants, subissaient une oppression identique à celle de l'Inquisition[37].

Vers 1629, Verstegen et sa femme étaient devenus propriétaires de trois maisons sur le prestigieux Meir à Anvers ; on lui reprocha, en 1630, dans un pamphlet anglais, de n’avoir obtenu sa fortune que grâce à un mariage profitable[38],[39].

Le , il rédigea son testament à Anvers, sans doute peu avant sa mort car, déjà en août 1640, sa femme, Catharina de Saulchy, se remaria avec un noble d’origine irlandaise[40].


Œuvre


Sa polyvalence le forçait d’être plus large que profond : avant tout, il manifestait une superficialité énorme dans sa connaissance et dans ses aptitudes[41].

Pratiquant plusieurs genres, cet homme, publiant souvent sous le monogramme R.V., ne pouvait exceller en aucun, bien que, selon Buitendijk, il eût été doué : même en tant qu'homme de lettres, il était extrêmement polyvalent, produisant toutes sortes de travaux littéraires : épigrammes, épitaphes, esquisses psychologiques d’individus, nouvelles d’actualités fictives, vers pieux, odes, sentences, études de proverbes, dialogues, etc.[42]. Vociférant surtout contre les calvinistes dans ses épigrammes, il dédia des épitaphes à, entre autres, Philippe II, Philippe III, Don Juan, Anjou, Guillaume le Taciturne, Philippe Guillaume d'Orange, le duc de Parme, Élisabeth Ire d'Angleterre et le comte de Leicester[43].

Comme polémiste et satiriste, il usait d'un ton particulièrement acerbe, d’un fanatisme fébrile, et ses écrits, où il n'épargnait personne, ne font pas justice à ses adversaires qui sont, en particulier, les calvinistes[42].

Par ses épigrammes, où il ne se livre à aucune considération théorique, il attaque les calvinistes sans pardon sur leur propre terrain, et, à l’instar d'un Marnix ou des pamphlétaires de la Révolte des gueux au XVIe siècle (bien qu'il soit plus superficiel en employant, entre autres, l'humour bon marché), il mesure la valeur de la religion réformée au comportement des professeurs de la nouvelle doctrine[44]. Dans un poème, inspiré par le recueil de Verstegen et datant sans doute de l'année même de parution de la première collection d'épigrammes de celui-ci, Anna Roemers Visscher semble émettre, quoique de façon assez subtile, une critique fondée sur la même réflexion[45],[46].

De Gazette van Nieuwe-Maren, modelée, non sur les journaux imprimés contemporains d’un Abraham Verhoeven, mais plutôt sur ceux, écrits[47], était une nouveauté en tant que genre littéraire et en tant qu’arme de combat contre les hérétiques : sous la forme d'un journal étaient présentées de fausses nouvelles[48]. Il semble qu'un ouvrage l'ait inspiré, publié à titre posthume quelques années avant le sien, puisant dans les œuvres laissées par Sir Thomas Overbury, et spécifique du même genre littéraire de nouvelles inventées[49].


Publications


(traduction d’un guide routier allemand, comprenant les sites historiques et d’autres informations : le premier guide touristique que l'on connaisse en langue anglaise, dédié à Sir Thomas Gresham)[29],[28] ;
(Théâtre des cruautés des hérétiques de notre temps, réimprimé en 1588, en 1592 et en 1603 ; édition révisée en 1604, la traduction française, intitulée Théâtre de cruautez, est publiée en 1587 et réimprimée en 1588, en 1592, en 1607 et en 1995 [établissement du texte, présentation et notes par Franck Lestringant, Paris, Chandeigne ]) ;
(Un traité sur la succession prochaine à la couronne d’Angleterre ; publié sous le pseudonyme collectif R. Doleman, par plusieurs auteurs, dont Verstegen et Robert Persons) ;
(Odes en imitation des sept psaumes pénitentiels, ainsi que plusieurs autres poèmes et chansonnettes appropriés à la dévotion et à la piété)[50],[28] ;
(il s’agirait d’une attribution erronée) ;
(Une restitution de la compréhension de l’histoire antique sur son déclin concernant la plus noble et renommée nation anglaise, sur l’origine anglo-saxonne du peuple anglais ; réimprimée en 1628, en 1634, en 1652, en 1655 et 1673)[51] ;
(livre d'emblèmes d’amour en vers latins, anglais et italien, traduction anglaise de Verstegen ;
(un pamphlet, dédié à Matthias Hovius, archevêque de Malines et primat des Pays-Bas espagnols, dont existent des versions en français, publiées à Anvers, Paris et Lyon, qui a été également traduit en allemand[52],[53] et qui traite de l’origine et de l’état actuel du « secte » calviniste[54]) ;
(Histoire ancienne des Pays-Bas, sur la conversion de plusieurs de ces contrées à la foi chrétienne par saint Willibrord ; une adaptation de son Restitution of Decayed Intelligence ; réimprimé en 1631 chez Govaert Schoevaerts à Bruxelles ; autres éditions, parfois différentes, en 1646, en 1662, en 1700, en 1701, en 1705, en 1714, en 1725, en 1733, en 1756 et en 1809) ;
(Épigrammes néerlandaises sur différents sujets, autant pour édifier que pour divertir par des épitaphes amusantes, par R.V. ; édition semblable intitulée Nederduytsche epigrammen ende epitaphien à Bruxelles,  éd. de 1624 dédié à Wenceslas Coberger[55]) ;
(La gazette universelle de nouvelles de par tout le monde, entremêlées de vieilles vérités. Avec une réfutation de quelques proverbes néerlandais inaptes)[48] ;
(Caractères lucides, ou la description perspicace des propriétés de certaines personnes : la première imitation par voie indirecte de Théophraste en néerlandais[42], l’auteur ayant surtout cherché l’inspiration dans un ouvrage anglais de même style de Thomas Overbury ; édition améliorée en 1622[56]) ;
(un pamphlet intitulé L’Histoire comique d’un chapon prédestiné, publié anonymement dans le journal Nieuwe Tydingen d’Abraham Verhoeven[57] ;
(pamphlet, publié anonymement dans les Nieuwe Tydingen d’Abraham Verhoeven et attribué à Verstegen, sous forme d’un dialogue entre un certain Jan Josepsen et l'esprit d'Oldenbarnevelt, où le dernier arrive à la conclusion que le calvinisme est la pire des fois et l’arminianisme non pas la meilleure)[58] ;
(La pierre à aiguiser de l’intelligence, avec laquelle, au moyen de propositions raffinées, de sages réponses, de raisons et de sentences, on renforce l’intelligence) ;
(Différents gouvernements royaux successifs en Angleterre) ;
(Miroir des troubles aux Pays-Bas, montré par un amateur de la vérité) ;
(Description récréative des propriétés des différents gens de métier ; réimprimée en 1630 et en 1642) ;
(pamphlet attribué à Verstegen, sur L’Excursion des incendiaires, avec la réponse sur un pamphlet injurieux, publié par les gueux en Hollande, sur leurs incendies criminels)[59] ;
(uniquement connu par la page de titre) ;
(satire attribuée à Verstegen, intitulée Les larmes douloureuses d’une sœur biblique de Hollande, ainsi que la lamentation sur d’autres représentants de la Réforme »)[58] ;
(Guerre livrée avec les armes de la vérité et de la raison, en deux batailles. Contre deux fausses prétentions des rebelles Hollandais…) ;
(pamphlet traitant des Plaintes de plusieurs ministres de la parole et autres frères et sœurs accablés par la Réforme des gueux)[58] ;
(Cent caractères amusants ou images de cent personnes différentes) ;
(Médicaments contre la mélancolie, consistant en certaines questions et réponses, ainsi qu’en des rencontres amusantes…) ;
(Entraînement en intelligence par une variété d’épigrammes et d’épitaphes perspicaces)[40],[60].

Voir aussi



Bibliographie



Références


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Liens externes



На других языках


[en] Richard Rowlands

Richard Rowlands, born Richard Verstegan (c. 1550 – 1640), was an Anglo-Dutch antiquary, publisher, humorist and translator. Verstegan was born in East London the son of a cooper; his grandfather, Theodore Roland Verstegen, was a refugee from Guelders who arrived in England around the year 1500.[1] A convert to the Catholic Church, Rowlands produced an English translation of the Little Office of the Blessed Virgin Mary; the translation and primer prayer book that contained it remained among the most popular English Catholic devotionals for two centuries.[2]
- [fr] Richard Verstegen



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