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Yanagiwara Byakuren (en japonais : 柳原 白蓮, vrai nom : Miyazaki Akiko (宮崎燁子) ; née le à Tokyo et décédée le ) était une poétesse et romancière japonaise. On l'avait surnommée l'une des « trois beautés de l'ère Taishō » - (大正三美女)[1],[2].

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Yanagiwara Byakuren
Biographie
Naissance

桜田町 (d) (ou environs)
Décès
(à 81 ans)
Nishi-Ikebukuro (d)
Sépulture
Kenkyō-ji (d)
Nom dans la langue maternelle
柳原白蓮
Nom de pinceau
白蓮
Nationalité
Japonaise
Formation
東洋英和女学院中学部・高等部 (d)
Toyo Eiwa Jogakuin (en)
Activité
Poétesse de tanka
Famille
Yanagiwara family (en)
Père
Yanagiwara Sakimitsu (en)
Fratrie
Yanagiwara Yoshimitsu (d) (frère consanguin)
Conjoints
Itō Den'emon (d) (de à )
Ryūsuke Miyazaki (d) (de à )
Enfants
Isamitsu Kitakōji (d)
Fuki Miyazaki (d)

Biographie


Byakuren Akiko Yanagiwara (柳原 燁子) naît à Tokyo en 1885[3]. Elle est la deuxième fille de l'homme d'État et diplomate le comte Yanagiwara Sakimitsu (柳原前光; 1850–1894)[4]. Sa mère était l'une de ses concubines, Ryō, issue d'une famille de samouraï déchu qui était une geisha à Yanagibashi[2],[3]. La famille Yanagiwara appartenait à la lignée familiale Reizei du clan Fujiwara. Sakimitsu était le frère aîné de la mère de l'empereur Taishō, Yanagiwara Naruko, faisant de Yanagiwara un cousin germain de l'empereur Taishō[2].

En 1894, elle est adoptée par un parent éloigné, le vicomte Yorimitsu Kitakōji. Elle entre à l'école des filles de Kazoku en 1898.

À l'age de 16 ans.
À l'age de 16 ans.

En 1900, à 15 ans, elle est mariée au fils aîné de la famille Kitakōji, Suketake (北小路 資武; 1878–1942)[2],[3], Elle doit abandonner l'école parce qu'elle tombe enceinte. Elle donne naissance à son fils aîné, Isamitsu, mais en 1905, elle divorcé, laissant son fils à la famille Kitakōji, et retourne chez ses parents.[2]

À l'époque, les familles Kazoku attachaient de l'importance à la décence, et une fille divorcée était déshonorée et elle ne pu pas retourner dans la résidence principale de la famille Yanagiwara.

En 1908, elle est transférée à l'école de filles Tōyō Eiwa, une école missionnaire canadienne à Azabu, Tokyo, en tant que pensionnaire pour reprendre ses études, qu'elle avait abandonnées en raison de son mariage et de sa grossesse. Elle y rencontre Hanako Muraoka, une fille de huit ans sa cadette, qui devient sa confidente et qu'elle appelle « Hana-chan ». À cette époque, elle est entrée dans l'association Tanka Takekashikai organisée par Nobutsuna Sasaki[2].

Photo de mariage de Byakuren Yanagiwara et Denemon Itō (mars 1911)
Photo de mariage de Byakuren Yanagiwara et Denemon Itō (mars 1911)

En 1910, elle rencontre Itō Den'emon (伊藤伝右衛門; 1861-1947), un magnat des mines de charbon à Kyushu[2],[3], qui a 25 ans de plus qu'elle, et l'année suivante, il l'épouse en secondes noces. Au moment du mariage, elle a déjà donné naissance bien qu'elle ait donné naissance au fils de Denemon, Kaori. Leur âge, leur statut statut et leur éducation étaient tous très différents ; leur mariage a créé des remous public en tant que mariage politique entre la famille d'un comte et un magnat de la mine de charbon. Le mariage jugé scandaleux a été largement traité dans le journal Tokyo Nichi Nichi Shimbun. Hanako Muraoka, la confidante, est choquée par cette nouvelle et met fin à sa relation avec Yanagiwara[2]. La même année, celle-ci est diplômée de l'école de filles Tōyō Eiwa[4].

Après s'être remariée, elle est surnommée la "reine de Tsukushi", mais se sent indigne de vivre. Elle a écrit une lettre à Hanako exprimant ses sentiments, ce qu'Hanako accepte, et les deux reprennent leur amitié. Elle écrit un poème tanka sur sa solitude et sa souffrance, et elle continu à publier ses poèmes dans le magazine Takekashikai Kokoro no Hana[2],[5]. À partir de ce moment, elle a commencé à utiliser son pseudonyme Byakuren[2].

Akiko avec Miyazaki et les enfants, 1930
Akiko avec Miyazaki et les enfants, 1930

En 1921, elle s'enfuit avec le socialiste Miyazaki Ryūsuke (宮崎龍介; 1892–1971), fils du philosophe et activiste politique Miyazaki Tōten. Cet incident a été appelé "l'incident Byakuren". À l'époque, l'adultère était un crime au regard du droit pénal, passible d'une peine pouvant aller jusqu'à deux ans d'emprisonnement. Elle publie sa lettre de rupture à la famille Itō sur l'Osaka Asahi Shimbun, et deux jours plus tard, une déclaration de protestation de Den'emon est publiée sur l'Osaka Mainichi Shimbun, ce qui fait la fortune de la presse à sensation.

Son nouveau beau-père a beaucoup de dettes et leur vie est difficile. Lorsque Ryūsuke tombe malade de la tuberculose, Yanagiwara soutient financièrement sa nouvelle famille en écrivant. En 1925 naît sa fille , Fuki. À partir de 1935, elle dirige le magazine de poésie Kototama[2].

En 1945, Kaori (son fils avec Den'emon) qui était un élève officier, meurt lors d'une frappe aérienne de l'armée américaine. À la suite de ce deuil elle crée la "Kokusai Hibo no Kai" (Société internationale des mères tristes) et lance des activités de proclamation de la paix dans diverses régions du Japon[2]. Pendant et après la Seconde Guerre mondiale, Yanagiwara s'est de plus en plus intéressé à l'activisme pour la paix et à la religion[4],[3].

Bien qu'elle perde la vue à cause d'un glaucome, elle passe une vie paisible à écrire des poèmes jusqu'à sa mort. Yanagiwara décède à Tokyo en 1967, à l'âge de 81 ans[2],[6].

Elle a étudié la poésie traditionnelle sous Sasaki Nobutsuna. Elle attire l'attention par le style passionné de sa poésie.


Œuvres



Recueils de waka



Recueil de poésie



Romans



Pièce



Bibliographie



Liens externes



Références


  1. Les deux autres étaient Kujō Takeko (九条武子; 1887–1928) et Egi Kimku (江木欣欣; 1877–1930)
  2. Nenkan Jiten Henshūshitsu, Asahi Gendai Yōgo Chiezō, Asahi Shinbunsha, (OCLC OCLC 227543839)
  3. Masāki Ueda, Nihon Jinmei Daijiten, Kōdansha, (ISBN 4062108003)
  4. Encyclopedia Nipponica., Shōgakkan., (ISBN 4095260017)
  5. Akira Matsumura, Daijisen, Shōgakkan, (OCLC 1183313624)
  6. Frank B. Gibney, Buritanika Kokusai Daihyakkajiten, TBS Britannica, (OCLC 55155325)
  7. Au moment de la persécution des chrétiens après 1600, la "fumie" était une plaque de métal avec une figure du Christ sur laquelle les Japonais devaient marcher pour témoigner qu'ils n'étaient pas chrétiens.

На других языках


[en] Byakuren Yanagiwara

Byakuren Yanagiwara (Japanese: 柳原 白蓮, Yanagiwara Byakuren, October 15, 1885 - February 22, 1967) was a Japanese poet and novelist. She is best known for the "Byakuren incident". She is one of the Three Beauties of Taishō period.[1]
- [fr] Yanagiwara Byakuren

[ru] Янагивара, Бякурэн

Бякурэн Янагивара (яп. 柳原 白蓮; наст. Акико Янагивара; 15 октября 1885 — 22 февраля 1967) — японская поэтесса и писательница. Работы включают поэзию вака, романы и сборники стихов[1].



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