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L’Académie française lui décerne le prix Caroline Jouffroy-Renault en 1936 pour son ouvrage Face à face.
Il n'a jamais pu se rétablir des blessures reçues en 1917[2], lors de la Première Guerre mondiale. Son œuvre transmet les doutes et l'espérance d’une personne confrontée à la souffrance et à la mort, avec foi et stoïcisme, affrontant Dieu, dressé contre et avec lui, comme l’indique le titre de son ouvrage Face à face. D'esprit classique et romantique, adepte de l’alexandrin, Henry Dérieux reste un des critiques littéraires et poètes les plus marquants de la première moitié du XXesiècle.
Il entretient une correspondance avec Paul Claudel, avec qui il entretient une admiration réciproque[3].
Son fils, Roger Dérieux devient peintre et conserve un amour pour l’univers du livre et produit une quarantaine de livres d’artistes.
Œuvres
Poésie
Le Sable d'or, "L'Art Libre", Lyon, 1910
Le Regard derrière l'épaule, Bernard Grasset, Paris, 1912
En ces jours déchirants (préface d'Henry Bataille), Payot, 1917
Le Livre d'heures de la guerre, Le Divan et Georges Crès, 1918
L'Élégie aux saisons (bois de Pierre Deval), Éditions Marcelle Lasage, 1927
Le Regard sur le monde, Les Marges, Paris 1934
Face à Face, Mercure de France, Paris, 1935
Heureux qui comme Ulysse, Mercure de France, 1937
À Gabriele d'Annunzio, Éditions des Iles de Lérins, Nice, 1937
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