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Mouvement
Nouveau roman
Distinctions
Liste détaillée
Prix Fénéon () Prix Renaudot () Prix Mallarmé () Grand prix de littérature de l'Académie française () Grand prix de poésie de la SGDL () Docteur honoris causa de l'université Johannes-Gutenberg de Mayence
Œuvres principales
La Modification, L'Emploi du temps, Degrés, passage de Milan
Il est célèbre pour son roman La Modification (1957), ouvrage majeur du Nouveau Roman, pour la part de son œuvre consacrée aux livres d'art, et pour ses travaux universitaires sur la littérature française.
Biographie
Michel Butor, né à Mons-en-Barœul en 1926[1], emménage avec sa famille à Paris en 1929 et y suit ses études[2]. Au début de la Seconde Guerre mondiale, durant la période connue sous l'appellation de «drôle de guerre», il suit ses parents à Évreux (Eure) où il est scolarisé au collège jésuite Saint-François-de-Sales[3]. Après des études en littérature et en philosophie, il échoue à plusieurs reprises à l'agrégation de philosophie puis devient enseignant au lycée Stéphane-Mallarmé de Sens[2].
Il est professeur de langue française en Égypte en 1950 puis consacre l'année 1952 à la visite des grands musées européens[3]. En 1956, il enseigne la philosophie, le latin, l’histoire et la géographie à l'école internationale de Genève, en Suisse[4].
En 1957, il publie aux Éditions de Minuit La Modification, roman écrit presque entièrement à la deuxième personne du pluriel («vous»), pour lequel il reçoit le prix Renaudot[5].
À partir de la fin des années 1950, Michel Butor écrit des textes pour des pièces musicales d'Henri Pousseur (Votre Faust (1960-1968), Répons (1960-1965), Le Procès du jeune chien (1974-1978), La Rose des voix (1982), Déclarations d'orages (1989), Les Leçons d'enfer (1991), Le Sablier du Phénix (1993), etc.). Butor rompt avec l'écriture romanesque après Degrés (1960), avec la publication de Mobile en 1962 dans lequel il reconnaît avoir introduit l'hypertexte en littérature[6].
En 1960, il signe le «Manifeste des 121», déclaration sur le «droit à l'insoumission» dans le contexte de la guerre d'Algérie[7].
En 1973, il fait publier Intervalle, ouvrage dans laquelle apparaît un souci pédagogique du processus d’écriture qui l’habite alors depuis plusieurs années[8].
Il commence une carrière universitaire comme professeur de littérature à partir de 1960, tout d'abord au Bryn Mawr College, aux États-Unis[9], puis en France à l'université de Nice de 1970 à 1975 (il soutient une thèse de doctorat en 1971[10]) et, finalement, à l'université de Genève de 1975 jusqu'à sa retraite en 1991[4],[3]. À partir de 1986, il vit à Lucinges, un village de Haute-Savoie proche de Genève, dans sa maison baptisée A l'écart, transformée après sa mort en Musée Michel Butor[11].
En 2006 commence la publication de ses œuvres complètes en treize volumes par les éditions de la Différence sous la direction de Mireille Calle-Gruber[12].
Le , il meurt à l'hôpital de Contamine-sur-Arve, dans le département de la Haute-Savoie, non loin de son lieu de résidence, trois semaines avant son quatre-vingt-dixième anniversaire[1].
Famille
Michel Butor se marie en 1958 avec Marie-Jo Mas, née en 1932, qui a suivi des études de puéricultrice, avant de devenir répétitrice à l’école internationale de Genève puis photographe à partir de 1989. Elle meurt en 2010. Le couple a eu quatre filles.
Prix
1957: Prix Fénéon pour L'Emploi du temps
1957: Prix Renaudot pour La Modification
1960: Prix de la critique littéraire pour Répertoire
1998: Grand prix du romantisme Chateaubriand pour Improvisations sur Balzac
2006: Prix Mallarmé pour Seize Lustres
2007: Grand prix des poètes de la SACEM
2013: Grand prix de littérature de l'Académie française pour l'ensemble de son œuvre
2016: Grand prix de poésie de la SGDL
Analyse de l’œuvre
Après avoir essayé dans ses premiers livres de concilier à la fois un certain détachement de la forme traditionnelle du roman et une volonté de représenter le monde contemporain, se rattachant ainsi au groupe du Nouveau Roman (Nathalie Sarraute, Alain Robbe-Grillet, Samuel Beckett, Jean Ricardou, Robert Pinget, Claude Simon), il choisit des formes nouvelles expérimentales, à partir de Mobile, grand ouvrage fait de collages divers (encyclopédies américaines, descriptions d'automobiles, articles de journaux, etc.) pour essayer de rendre compte de la réalité étonnante des États-Unis contemporains.
Cette volonté d'expérimentation pour représenter le monde se retrouve dans tous ses ouvrages, qu'il s'agisse de récits de voyages (série Le Génie du lieu), de récits de rêves (Matière de rêves), ou de ses très nombreuses collaborations avec des peintres et des artistes contemporains (recueillis dans la série des Illustrations). Ce travail avec les peintres a peu à peu fini par constituer un nouveau plan de ses interventions littéraires par son approche «sur», «avec» puis «dans» la peinture. Le texte critique des débuts (pour mémoire sa première critique d'art consacrée à Max Ernst date de 1945) a fini par se trouver remplacé par une myriade d'ouvrages à tirage plus ou moins limité qui questionnent la notion d'œuvres croisées.
Il a ainsi collaboré avec un très grand nombre de plasticiens pour réaliser des livres-objets et des livres d'artiste.
Il a délaissé le genre du roman proprement dit depuis les années 1960. Outre l'écriture de nombreux essais, il pratique divers genres qui s'apparentent à la poésie. Dans un entretien, Michel Butor affirme que sa prédilection tardive pour le genre essayistique s'est accompagnée de la mise au rancart de sa pratique romanesque:
«Lorsque j'ai commencé à publier, j'ai pensé pendant un certain temps que je pourrais tout mettre dans le roman. Mais je me suis rendu compte assez vite que, tout en écrivant des romans, j'écrivais aussi des essais[13].»
Œuvres notables
Texte de Michel Butor en hébreu, en français et en arabe sur un pan de la façade du bâtiment de l'association de la Maison de la vigne Beit Hagefen à Haïfa (Israël) en 2010.
Butor est un des auteurs les plus prolifiques du monde littéraire; il a lui-même recensé 1 400 œuvres de son cru[14].
Friedrich Hölderlin, L’Aède en exil, poèmes librement adaptés en français, illustrations de Bernard Dufour, Éditions Fata Morgana, 2000
Textes expérimentaux
Mobile: étude pour une représentation des États-Unis, Paris, Gallimard, 1962
Réseau aérien, 1962
Portrait de l'artiste en jeune singe, 1967
Le Génie du lieu: série de cinq ouvrages (Le Génie du lieu (1958), Ou (1971), Boomerang (1978), Transit (1992) et Gyroscope (1996))
Matière de rêves: série de cinq ouvrages, 1975-1985
Essais
Répertoire I à V, Paris, Minuit, 1960-1982
Histoire extraordinaire: essai sur un rêve de Baudelaire, 1961
Retour du boomerang, 1988
Improvisations sur Flaubert, 1989
Improvisations sur Rimbaud, 1989
Icare à Paris ou les entrailles de l'ingénieur, 1992
L'Utilité poétique, 1995
Le Sismographe aventureux – Improvisations sur Henri Michaux, Paris, La Différence, 1999[20]
Improvisations sur Balzac, Paris, La Différence, 1998, trois vol. (ISBN2-7291-1222-7, 2-7291-1221-9 et 2-7291-1220-0)
Neuf leçons de littérature, avec Chloé Delaume, Pierrette Fleutiaux, et Hédi Kaddour, 2007 (ISBN9782844205407)
Petite histoire de la littérature française : 1 livre + 6 CD + 1 DVD, Éditions Carnets Nord 2008 (ISBN978-2-35536-005-3)
Improvisations sur Michel Butor: L'écriture en transformation, Paris, La Différence, coll.«Minos», (1reéd. 1993), 320p. (ISBN978-2-7291-2126-6, présentation en ligne)
Hugo, Paris, Éditions Buchet/Chastel, 2016, 208 p. (ISBN978-2-283-02885-8)
Traductions
Aron Gurwitsch, Théorie du champ de la conscience, Bruxelles, DDB, 1957, traduction de Field of Consciousness
György Lukács, Brève histoire de la littérature allemande, avec Lucien Goldmann, Nagel, 1949
Shakespeare, Tout est bien qui finit bien, Formes et Reflets, 1958
Bernardino de Sahagún, De l'origine des Dieux, un des livres de l’Histoire générale des choses de la nouvelle Espagne, mis en français par Michel Butor, Fata Morgana, 1981
Écrits sur la peinture
Description de San Marco, 1963
Les mots dans la peinture, 1969
Illustrations [I à IV]: série de quatre ouvrages, 1964-1976
Hérold, 1964
Delvaux: catalogue de l’œuvre peint, en collaboration avec Jean Clair et Suzanne Houbart-Wilkin, Production de la Société Nouvelle d'Éditions Internationales, Bruxelles, 1975
Notes autour de Mondrian in Tout l’œuvre peint de Piet Mondrian, 1976
Vanité, 1980
Envois, 1980
La Verge, 1981
Express (Envois 2), 1982
Vieira Da Silva, 1983
Avant-goût [I à IV], 1984-1992
Diego Giacometti, 1985
L’œil de Prague. Dialogue avec Charles Baudelaire autour des travaux de Jiři Kolář, 1986
Dialogue avec Eugène Delacroix sur l’entrée des Croisés à Constantinople, 1991
Faust de Goethe illustré par Delacroix, éditions Diane de Selliers, postface de Michel Butor, 1997
«Les mosquées de New York ou l’art de Mark Rothko» in Mark Rotko, 1999
Dialogue avec Rembrandt Van Rijn sur Samson et Dalila, 2005
Le Chemin du ciel et La Chute des damnés: Une lecture de Dirk Bouts, Éditions Invenit, 2011
Le Musée imaginaire de Michel Butor, Flammarion, 2015
En collaboration avec Michel Sicard
Dotremont et ses écrivures. Entretien sur les logogrammes, 1978
Ania Staritsky. Matières et talismans, 1978
Problèmes de l’art contemporain à partir des travaux d’Henri Maccheroni, 1983
Michel Butor collaborait régulièrement avec des peintres pour réaliser des livres d'artiste ou des «livres pauvres»; leur nombre approche les 1 500 titres. Ils sont parfois nommés «livres manuscrits», en ayant la caractéristique d’être presque des «éditions quasi clandestines»[21].
En 1981 il collabore, avec un travail intitulé Les Révolutions des calendriers, à la revue d'art Trou (no2).
En , ensemble de «travaux croisés» grâce à une rencontre organisée à Marrakech dans une résidence d'artistes réunis autour de lui, organisée par l'association la Rose de Dadès sur une invitation de l'Institut français de Marrakech. Les artistes autour de Michel Butor sont: Ouida Abdelghani, Salah Benjakan, Mylène Besson, Marie-Jo Butor, Larbi Cherkaoui, Rachid El Bankdi, Maxime Godard, Pierre Leloup et Mohamed Mourabiti.
Une exposition s'est tenue en 2006 à la Bibliothèque nationale de France à Paris sous le titre «Michel Butor, l'écriture nomade». Un colloque francophone a suivi: «Michel Butor: Déménagements de la littérature», sous la présidence de Mireille Calle-Gruber.
En est organisée à la Cité des Arts de Chambéry une exposition intitulée «Le livre dans tous ses états» et consacrée à l'exposition des travaux exécutés à Marrakech. Le , accompagné de plusieurs de ces artistes, Michel Butor, dans une conférence, parle de sa démarche préliminaire et les péripéties de cette rencontre à Marrakech à travers la lecture des poésies écrites à cette intention et ses commentaires.
L’Amateur lointain réalisé en collaboration avec le peintre Georges Badin
Le Jardin Catalan réalisé en collaboration avec le peintre Georges Badin
Souvenirs illusoires d'un Japon très ancien réalisé en collaboration avec le peintre Geneviève Besse
1984: La Quinte Major, texte manuscrit avec dessins originaux de Vincent Bioulès, Patrick Lanneau, Gérald Thupinier et Mark Willis, 15 exemplaires
1984: Rêveuse Riviera, photographies de Cuchi White sur les villas 1900 de la Côte d'azur, éditions Herscher.
1990: Notre Île de Pâques réalisé en collaboration avec Pierre Demarne
1998: Empreintes en croissance réalisé en collaboration avec Gérard Serée, L'Amourier éditions
2000: Tombes titubantes (Ides et Calendes, photogalerie 7) avec photos d'Henri Maccheroni
2004: Loup gris, Loup bleu réalisé en collaboration avec le peintre Kaviiik[22]
2005: Chants de la gravitation réalisé en collaboration avec le peintre Georges Badin
2006: Flux & reflux réalisé en collaboration avec la gravure Khédija Ennifer-Courtois
2007: Don Juan en Occitanie de Colette Deblé (artiste) et Michel Butor (auteur), édition Æncrages & Co, coll.«Livres d'artistes»
2008: Reptation, collages, marouflages et peinture acrylique de José San Martin, collages, gravures et peinture acrylique de Jean-Pierre Thomas, tirage 12 exemplaires, Azul éditions[23]
2009: Carcasses avec la photographie d'Eric Coisel et la peintre Patricia Erbelding (coll.«Mémoires»)
2010: Réminiscences (20) - Au Japon de Voltaire d'Olivier Delhoume (artiste) et Michel Butor (auteur), éditions Æncrages & Co
2012: Ferney de Michel Butor (auteur), Voltaire (auteur) et Martine Jaquemet (artiste), éditions Æncrages & Co
2013: Evian de Michel Butor (auteur) et Martine Jaquemet (artiste), éditions Æncrages & Co
2014: Ouverture éphémère de la maison du livre d'artiste à Lucinges[24]
2016: La Modification-II livre peint, leporello de Jean-Pierre Hastaire (peintre), coll.«Figures»
Dialogue avec 33 variations de Ludwig van Beethoven sur une valse de Diabelli, Paris, Gallimard, 1971, coll.«Le Chemin»
Le Japon depuis la France, Un rêve à l'ancre, Hatier, 1995
«Déchiffrer les mystères d'un monde moderne», entretien avec Agnès Marcetteau-Paul, Revue Jules Verne 18, Conversations avec Michel Butor et Péter Esterházy, Centre International Jules Verne, 2004, p.65-114
«Souvenir de La Villetertre» et «Baie de Somme», dans Picardie, autoportraits, collectif, Centre International Jules Verne/Éditions de la Wéde, 2005
L’Éloignement du prince Icare, Lamentation sur la mort d'Henri Pousseur, hommage à Henri Pousseur, Cadastre8zéro, 2008
Michel Butor et Graziella Borghesi, Migrations, coll.«Résidences en Baie de Somme», Cadastre8zéro, 2009
Jardins de rue au Japon, avec Olivier Delhoume, Genève, Notari 2010
Les Trois Châteaux, livre pour enfants, illustré par Titi Parant, Paris, La Différence, 2012
Conversation sur le temps, entretien avec Carlo Ossola, Paris, La Différence, 2012
Hugologie / Julius Baltazar, catalogue de l'exposition éponyme[25] avec des interventions sur des peintures de Julius Baltazar, Paris, éditions du Littéraire, 2015
ALBUM, photos de Marie-Jo et interventions manuscrites de Michel Butor, Artgo & Cie, 2015 (ISBN978-2-919642-17-5)
Graines, photographies de Paul Starosta, éditions 5 continents, 2016 (ISBN978-88-7439-762-4)
Michel Butor et Mohammed Mourabiti, Opération Marrakech 3, coll.«Avec», Cadastre8zéro,
Georges Godin, «Intervalle ou le livre cahier d’écriture», Études françaises, vol.18, no2, , p.69-87 (lire en ligne)
«Michel Butor, invité de l’upjl à l’occasion de la parution de ses Œuvres complètes», La Cause freudienne, no74, , p.83–112 (ISSN2258-8051, lire en ligne, consulté le ).
Adélaïde Schutz, «Maison de Michel Butor à Lucinges: «Son bureau, c’est une œuvre d’art»», Le Dauphiné Libéré, (lire en ligne)
André Clavel, «Michel Butor au complet», Le Temps, (lire en ligne)
Robert Melançon, «Entretien avec Michel Butor», Études françaises, volume 11, numéro 1, février 1975, p. 68 (lire en ligne).
«Michel Butor: “J'ai écrit plus de 1 400 livres”», BibliObs, (lire en ligne, consulté le ).
Le manuscrit a été déposé par l'auteur à la bibliothèque municipale de Nice (BMVR), par ailleurs détentrice d'autres manuscrits, tapuscrits et ouvrages donnés par l'auteur.
Avec un poème inédit de Michel Butor.
««SURVIVRE», MICHEL BUTOR, éditions Æncrages & Co, 2011 (article initialement paru dans «Diérèse» 54, automne 2011)», PAGE PAYSAGE, (lire en ligne, consulté le ).
Denise Bourdet, Michel Butor, dans: Encre sympathique, Paris, Grasset, 1966
Jennifer Waelti-Walters, Alchimie et Littérature, Paris, Denoël, 1975
Jennifer Waelti-Walters, Michel Butor, Victoria Canada, Sono Nis Press, 1977
Christian Skimao et Bernard Teulon-Nouailles, Michel Butor Qui êtes-vous?, 1988
Else Jongeneel, Michel Butor et le pacte romanesque: écriture et lecture dans L'Emploi du Temps, Degrés, Description de San Marco et Intervalle, Paris, Corti, 1988
Laurent Bazin, La Création selon Michel Butor, 1991
Jennifer Waelti-Walters, Michel Butor, Amsterdam, Rodopi, 1992
Michel Butor: rencontre avec Roger-Michel Allemand, éditions Argol, 2009 (ISBN978-2-915978-46-9)
Georges Godin, «Intervalle ou le livre cahier d’écriture», Études françaises, vol.18, no2, , p.69-87 (lire en ligne)
Roger-Michel Allemand, «Michel Butor: propos sur l’enseignement, le jeu et l’improvisation», The French Review, Vol. 83, n° 3, , p. 526-537
Robert Mélançon, «Entretien avec Michel Butor», Études françaises, volume 11, numéro 1, février 1975, p. 67-92 (lire en ligne).
Pierre Brunel, Michel Butor, L’Emploi du temps – ou le mode d’emploi d’un labyrinthe, éditions du Littéraire, 2013 (ISBN978-2-919318-17-9)
Des expériences du livre, actes de la rencontre de 2012 en Haute Provence, sous la direction de Mireille Calle, Argo & Cie, 2015 (ISBN978-2-919642-08-3)
Filmographie
Pierre Coulibeuf, Divertissement à la maison de Balzac, court métrage, 1989
Pierre Coulibeuf, Michel Butor Mobile, long métrage, 1999
Cueillis au passage avec Michel Butor à Lucinges (32 min), réalisation Thésée, Arthésée éditions, 2010 (ISAN 0000-0002-9709-0000-V-0000-0000-1)
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