Marguerite Clarisse Nicolette Hennique, fille du romancier Léon Hennique et de Nicolette-Louise Dupont, naît rue de Courcelles à Paris, le .
Elle a collaboré à plusieurs revues: L'Ermitage[3],[4]; L'Hémicycle; La Revue blanche; La Revue; Le Gaulois. En 1955, elle publiera un émouvant livre de souvenirs à la mémoire de son père[5].
Elle était membre de la Société de propagation des livres d'art[6]. Elle a hérité de la maison natale de Condorcet à Ribemont (maison devenue Musée Condorcet)[7].
Œuvres
Des rêves et des choses, La Revue blanche, Paris, 1900.
Les douze labeurs héroïques, illustration de douze compositions dessinées et gravées par Gaston Bussière, préface de Mme Alphonse Daudet, Ferroud, 1903 Lire en ligne dans La Revue blanche sur Gallica
Des héros et des dieux, Fasquelle, Paris, 1904
Mon père, Léon Hennique. Préface de Gabriel Reuillard; éditions du Dauphin 1959
José-Maria de Heredia dans sa correspondance à Léon Hennique et sa fille (1904) exprime le regret de n'avoir pu les recevoir à l'Arsenal et complimente Nicolette Hennique de ses vers (acquisition de la BNF, 1973)
Henri Duvernois la classe parmi les Parnassiens[9]
Nicolette Hennique, presque une enfant encore, a su forcer l'attention des lettrés avec Des rêves et des choses, Des héros et des dieux. (Le Gaulois (Paris. 1868)
«L'étrange phénomène! chanter grec, penser grec, voir grec, rêver grec, ainsi que la grande Sapho de Mitylène et s'appeler florianesquement Nicolette!» Émile Bergerat
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