Remy de Gourmont, né le au manoir de la Motte à Bazoches-au-Houlme, près d'Argentan (Orne), et mort le à Paris 15e[2], est un écrivain français, à la fois romancier, journaliste et critique d'art, proche des symbolistes.
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Remy de Gourmont est issu d'une ancienne famille originaire du Cotentin, dont une branche s'est établie à Paris au XVIesiècle pour y fonder une maison d'édition qui publia des livres et, surtout, de nombreuses estampes et gravures. Il est le fils du comte Auguste-Marie de Gourmont et de la comtesse, née Mathilde de Montfort.
En 1866, la famille s'installe au manoir du Mesnil-Villeman, près de Villedieu (Manche). Remy de Gourmont est interne au lycée de Coutances de 1868 à 1876. C'est un excellent élève, même si on lui trouve trop d'imagination.
En 1876, il s'installe à Caen, 46, rue Écuyère, et entreprend des études de droit. Ayant obtenu en 1879 son diplôme de bachelier en droit, il s'installe à Paris, d'abord rue Richer, puis peu après 41, rue d'Hauteville.
Maison de Remy de Gourmont à Caen.
En novembre 1881, il obtient un emploi d'attaché à la Bibliothèque nationale. Il commence à collaborer à des périodiques catholiques tels que Le Monde ou Le Contemporain.
Entre 1882 et 1886, il publie divers ouvrages de vulgarisation historique mais c'est avec un roman, Merlette (1886), dont l'action est située dans le pays de son enfance, entre Villedieu et Avranches, qu'il fait véritablement ses débuts littéraires; l'ouvrage est accueilli avec indifférence.
En cette même année 1886, Remy de Gourmont, qui s'était jusqu'alors surtout intéressé à l'histoire et à la littérature ancienne, découvre les nouvelles recherches esthétiques de son temps à travers la revue La Vogue de Gustave Kahn.
Il fait également la connaissance de Berthe de Courrière, modèle et légataire universelle du sculpteur Auguste Clésinger, sur lequel elle commande une étude au jeune auteur qui ne tarde pas à devenir son amant. Elle lui inspire des lettres passionnées, rédigées au long de l'année 1887 et qui seront publiées à titre posthume sous le titre Lettres à Sixtine (1921). Il s'installe chez elle, 71, rue des Saints-Pères, et y vivra jusqu'à sa mort en 1915.
Plaques apposées au n° 71 de la rue des Saints-Pères, Paris 6e, où vécurent le juriste et ethnologue Baltazar Bogišić (1834-1908) de 1876 à 1907 et le poète Remy de Gourmont (1858-1915) de 1898 à 1915.
Berthe de Courrière restera toujours dévouée à Remy de Gourmont. Elle inspire son roman Sixtine (1890), qui s'accorde parfaitement avec la sensibilité multiple de son temps, et qu'il dédie à Villiers de l'Isle-Adam, dont il a fait la connaissance à la Bibliothèque nationale et qui est devenu son ami.
À la même époque, il se lie avec Joris-Karl Huysmans, qui sera le dédicataire du Latin mystique (1892) et s'inspirera de Berthe de Courrière dans son roman Là-bas, et fréquente les mardis de Stéphane Mallarmé, rue de Rome.
En 1889, Remy de Gourmont est, avec Alfred Vallette, Louis Dumur, Ernest Raynaud, Jules Renard, Albert Samain, au nombre des fondateurs du nouveau Mercure de France, auquel il collaborera pendant vingt-cinq ans. Cette collaboration marquera profondément la personnalité de la revue, à laquelle le nom de Gourmont reste indissolublement lié. En avril 1891, il y publie un article intitulé «Le joujou patriotisme» dans lequel il soutient que les affinités artistiques et culturelles profondes entre la France et l'Allemagne, qui devraient amener un rapprochement des deux pays, sont contrariées par les passions nationalistes; le ton dédaigneux de l'article — davantage sans doute que la thèse elle-même — suscite une polémique qui lui vaut d'être révoqué de la Bibliothèque nationale et lui ferme les colonnes de la majeure partie de la grande presse, malgré les efforts de son défenseur Octave Mirbeau, qui parvient tout de même à le faire entrer au Journal.
Entre et la fin de l'année 1896, il dirige la revue illustrée L'Ymagier, d'abord avec Alfred Jarry puis seul à compter de .
En 1891, Gourmont est atteint par une forme de lupus dont la progression ne peut être enrayée que par des cautérisations extrêmement douloureuses, qui le défigurent et compromettent sa vie mondaine et sentimentale. Psychologiquement atteint, il reste longtemps cloîtré chez lui et lorsqu'il recommence à sortir, ce n'est que pour passer dans les bureaux du Mercure, rue de Condé et, une fois par an, pour quelques semaines de vacances à Coutances.
La revue du nouveau Mercure de France, dont Rémy de Gourmont fut l'un des fondateurs.
Journal de Léautaud au : «Quand il fut atteint de son lupus de la face [...], aucuns détails. Vallette reçut un jour un mot de lui: “Je serai quelques jours sans venir. Je me soigne.” Trois mois après, il reparaissait, le visage complètement changé, s’asseyait à la même place, se mettait à bavarder comme s’il était venu la veille, sans la moindre allusion à son absence ni à son changement physique.»
Pour lui, désormais, n'existent plus que le travail et les livres. Il publie, quasi exclusivement au Mercure de France, une œuvre vaste et abondante, composée de romans, de pièces de théâtre, de recueils de poésie et surtout d'essais qui témoignent d'une profonde érudition. En 1905, avec André Gide, il reprend la direction de la revue L'Ermitage.
En 1910, il rencontre Natalie Clifford Barney. Elle lui inspire une vive passion qui s'exhale dans les Lettres à l'Amazone, publiées en 1914. Avec elle il accepte de sortir à nouveau et fait même un petit voyage en Normandie.
Mais l'ataxie locomotrice qui l'atteint également depuis plusieurs années mine sa santé. La Première Guerre mondiale le plonge dans un profond abattement, ses amis partis pour la plupart pour le Front, Le Mercure est fermé pendant un an. Sa maladie empire, il marche de plus en plus difficilement. Il publie encore quelques articles dans des journaux comme La France et La Dépêche de Toulouse.
«Nous avons été ensuite tous les trois (avec Mme de Brimont et Nathalie Clifford Barney) chez Rémy de Gourmont, rue des Saints-Pères, tout en haut d'un petit escalier où l'écrivain habite un modeste appartement uniquement rempli de livres. Je ne l'avais pas revu depuis 1892! Vêtu d'une robe qui avait l'air d'une bure, il ressemblait à un vieux capucin qui porte binocle mais un capucin studieux et avec cela boitant un peu et bégayant toujours. Il parle peu, trop peu et on ne se douterait guère qu'il soit l'auteur de tant d'articles et de livres sur tous les sujets […] sur Huysmans: "il était d'une affreuse méchanceté" m'a dit en souriant Gourmont. Comme je lui parlais de son costume (il) reprit: "Toutes les robes de chambre ressemblent à des robes monacales".»
—Abbé Arthur Mugnier, Journal, 10 mai 1915 (Mercure de France, 1985, p. 287)
Il meurt d'une congestion cérébrale en 1915 à l'hôpital Boucicaut et est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (10e division) dans le tombeau de Clésinger.
Berthe de Courrière hérite de tous les manuscrits et de la bibliothèque de l'écrivain. Lorsqu'elle meurt à son tour moins d'un an plus tard, elle les transmet au frère de Rémy, Jean de Gourmont. Celui-ci s'attachera, pendant près de dix ans, à publier de nombreux inédits.
Œuvre
Gourmont pratique une forme de discernement qu'il baptise la «dissociation d'idées». Une part importante de son œuvre d'essayiste est consacrée à cet exercice cérébral, qui consiste à faire la part des choses: l'idée juste est colonisée par l'amalgame qui en fait à la fois un cliché et une idée fausse. L'idée reçue est le résultat de cette opération qui réunit des éléments vrais pour en faire une idée fausse, par l'illusion que leur réunion est la normalité. Le travail de dissociation permet de délivrer la vérité de sa partie polluée, pour retrouver l'«idée pure».
Il était aussi critique littéraire. Et en tant que tel, il admirait Balzac tout en réprouvant son travail forcené et sa production énorme. Choses que pourtant il admirait chez Paul Adam:
«J’ai pensé à Balzac, (M. Paul Adam en sera flatté, j’espère), en lisant, dans la biographie que l’on vient de donner de l’auteur de la Ruse, la liste de ses œuvres. Il y a en effet quelque chose de balzacien dans la fécondité de ce jeune romancier qui, en dix-sept ans de travail, nous aura donné trente-cinq volumes, et souvent des volumes énormes, qui en valent deux ou trois par la compacité. Quelle est sa méthode de travail, je ne l’ignore pas absolument; elle est plus raisonnable que celle de Balzac et, par conséquent, elle durera sans doute plus longtemps[3].»
L’Académie française lui décerne le prix Saintour en 1904 pour La culture des idées, Le problème du style et Esthétique de la langue française.
L'Odeur des jacynthes, Éditions de la Différence, coll. «Orphée», anthologie poétique présentée par Michel Houellebecq, 1991
Les roses dans l'orage
Romans et contes
Merlette, roman, Plon-Nourrit, 1886
Sixtine, roman de la vie cérébrale, Albert Savine, 1890
Le Fantôme, avec 2 lithographies d'Henry de Groux, 1893
Le Château singulier, Mercure de France, 1894, rééd. Paris, Contre-moule, 1989.
Proses moroses, contes, Mercure de France, 1894
Histoires magiques, Mercure de France, 1894
Le Pèlerin du silence, contes et nouvelles, Mercure de France, 1896
Phocas, avec 3 dessins de Remy de Gourmont, collection de l'Ymagier, 1895
Les Chevaux de Diomède, roman, Mercure de France, 1897
D'un pays lointain. Miracles. Visages de femmes. Anecdotes, Mercure de France, 1898
Le Songe d'une femme. Roman familier, roman, Mercure de France, 1899
Une nuit au Luxembourg, roman, Mercure de France, 1906; nouvelle édition à L'Arbre Vengeur en 2020.
Un cœur virginal, roman. Couverture de Georges d'Espagnat, Paris, Mercure de France, 1907
Couleurs, contes nouveaux suivi de Choses anciennes. Paris, Mercure de France, 1908.
Lettres d'un satyre. Paris, Crès, coll. «Les Maîtres du livre», 1913. Frontispice de Vibert
Lettres à l'Amazone, frontispice de Vibert, Crès, 1914
Monsieur Croquant, Crès, 1918. Réédité en annexe d'Esthétique de la langue française par les éditions Ivrea en 1995
La Patience de Grisélidis. Illustrations de P. A. Moras. Paris, Éditions du Sagittaire, 1920
Lettres à Sixtine. Mercure de France, 1921
Le Vase magique. Paris, Le Divan, 1923
Fin de promenade et trois autres contes. Paris, À l'enseigne de la Porte étroite, 1925
Le Désarroi, roman, Éditions du Clown Lyrique, 2006 (écrit en 1899)
Théâtre
Lilith, Essais d'Art Libre, 1892
Théodat, Mercure de France, 1893
Histoire tragique de la princesse Phénissa, Mercure de France, 1894
Le Vieux Roi, Mercure de France, 1897
L'Ombre d'une femme, pièce en un acte et en prose, Champion, 1923
Essais et chroniques
Un volcan en éruption, A. Degorce-Cadot, Bibliothèque du Jeune Âge I, 1882
Une ville ressuscitée, A. Degorce-Cadot, Bibliothèque du Jeune Âge II, 1883
Bertrand Du Guesclin, A. Degorce-Cadot, 1883
Tempêtes et Naufrages, A. Degorce-Cadot, 1883
Les Derniers Jours de Pompéi, A. Degorce-Cadot, 1884
En ballon, A. Degorce-Cadot, 1884
Les Français au Canada et en Acadie. Avec 50 gravures. Paris, Firmin-Didot, 1888
Chez les Lapons, mœurs, coutumes et légendes de la Laponie norvégienne. Avec 31 gravures. Paris, Firmin-Didot, 1890
«Le Joujou patriotisme», Mercure de France, avril 1891
Le Latin mystique. Les poètes de l'antiphonaire et la symbolique au Moyen Âge, préface de Joris-Karl Huysmans, Mercure de France, 1892
L'Idéalisme, Mercure de France, 1893
L'Ymagier, en coll. avec Alfred Jarry, 2 volumes, 1896
La Poésie populaire, Mercure de France et L'Ymagier, 1896
Le Livre des masques, édition du Mercure de France, 1896. Témoignage de premier ordre sur les écrivains du mouvement symboliste, illustré de vignettes signées Félix Vallotton.
Almanach de "L'Ymagier", zodiacal, astrologique, littéraire, artistique, magique, cabalistique et prophétique, avec 15 bois de G. d'Espagnat, L'Ymagier, 1897
Le Deuxième Livre des Masques, dessins de Félix Vallotton, Mercure de France, 1898
Esthétique de la langue française, Mercure de France, 1899 Réédité par les éditions Ivrea en 1995
La Culture des idées, Mercure de France, 1900
Les Petites Revues. Essai de bibliographie avec une préface de Remy de Gourmont, Mercure de France, 1900
Le Chemin de velours. Nouvelles dissociations d'idées. Paris, Mercure de France, 1902
Le Problème du style, Mercure de France, 1902
Épilogues (Réflexions sur la vie, 1895-1898), Mercure de France, 1903
Physique de l'amour. Essai sur l'instinct sexuel, Mercure de France, 1903
Promenades littéraires, Mercure de France, 1904
Judith Gautier, biographie, Sansot, 1904
Promenades philosophiques, Mercure de France, 1905
Une loi de Constance intellectuelle, revue du Mercure de France, 1er et
L'amour à l'envers, revue du Mercure de France,
Dante, Béatrice et la poésie amoureuse. Essai sur l'idéal féminin en Italie à la fin du XIIIesiècle. Mercure de France, 1908
Le Chat de misère. Idées et images, chroniques. Paris, Société des Trente, Albert Messein, 1912
La Petite Ville, Mercure de France, 1913
«Des pas sur le sable...», Almanach littéraire Crès, Paris, 1914, avec un portrait par E. Vibert
La Belgique littéraire. Paris, Crès, 1915
Pendant l'orage, bois d'André Rouveyre, Champion, 1915
Dans la tourmente (avril-). Préface de Jean de Gourmont. Paris, Crès, coll. "Bellum", 1916
Pendant la guerre. Lettres pour l'Argentine, préface de Jean de Gourmont, Mercure de France, 1917
Les Idées du jour, 2 tomes, t. I (-), t. II (-), Crès, coll. «Bellum», 1918
Trois légendes du Moyen Âge. Paris, Société des Trente, Albert Messein, 1919
Le Livret de "L'Imagier", bois de Daragnès. Paris, Éditions du Sagittaire, 1920
Petits Crayons, chroniques. Paris, Crès, 1921
Le Puits de la vérité, chroniques. Paris, Société des Trente, Albert Messein, 1922
Dernières Pensées inédites. Paris, François Bernouard, 1924
Dissociations. Paris, Éditions du Siècle, 1925
Nouvelles Dissociations, Éditions du Siècle, 1925
La Fin de l'art, chroniques. Paris, Cahiers de Paris, 1925
Les Femmes et le langage, Chez Madame Lesage, Paris, 1925
Deux poètes de la nature: Bryant et Emerson. Paris, La Centaine, 1925
Le Joujou et trois autres essais, avec 10 bois de Joseph Quesnel, La Belle Page, 1926
Lettres intimes à l’Amazone, avec 52 lithographies d'André Rouveyre, Mercure de France, 1926
Promenades littéraires, Mercure de France, Paris, 1929
Le téléphone a-t-il tant que cela augmenté notre bonheur?, Paris, Grasset, 2015
Citations
«J’ai vu naître un mot; c’est voir naître une fleur. Ce mot ne sortira peut-être jamais d’un cercle étroit, mais il existe; c’est lirlie. Comme il n’a jamais été écrit, je suppose sa forme: lir ou lire, la première syllabe ne peut être différente; la seconde, phonétiquement li, est sans doute, par analogie, lie, le mot ayant conçu au féminin. J’entendais donc, à la campagne, appeler des pommes de terre roses hâtives, des lirlies roses: on ne put me donner aucune autre explication, et le mot m’étant inutile, je l’oubliai. Dix ans après, en feuilletant un catalogue de grainetier, je fus frappé par le nom d’early rose donné à une pomme de terre, et je compris les syllabes du jardinier.» (Esthétique de la langue française, Mercure de France, 1899).
«La femme la plus compliquée est plus près de la nature que l’homme le plus simple.» (Promenades littéraires, Mercure de France, 1904).
«Savoir ce que tout le monde sait, c'est ne rien savoir. Le savoir commence là où commence ce que le monde ignore.» (Promenades philosophiques, Mercure de France, 1905).
«L'homme commence par aimer l'amour et finit par aimer une femme. La femme commence par aimer un homme et finit par aimer l'amour.» (Physique de l’amour. Essai sur l’instinct sexuel, Mercure de France, 1903).
«Un vice est comme un amour, il n'y a rien qu'on ne lui sacrifie.» (Pensées inédites, Rennes, Éditions Ubacs, 1989).
«L'intelligence de l'homme n'a pas progressé depuis son apparition sur terre.», (La Culture des idées).
«L'irreligion est une religion.», (La Culture des idées).
«Le peuple, c'est tous ceux qui ne comprennent pas.», (La Culture des idées).
«Quand un peuple n'ose plus défendre sa langue, il est mûr pour l'esclavage.»[4],
Bibliographie
Dr Paul Voivenel, Remy de Gourmont vu par son médecin. Essai de physiologie littéraire. Paris, Éditions du Siècle, 1924
Marcel Coulon, L'enseignement de Remy de Gourmont. Paris, Éditions du Siècle, 1925
André Rouveyre, Le Reclus et le retors. Gourmont et Gide. Avec 16 lithographies et un frontispice. Paris, Crès, 1927
Karl D. Uitti, La passion littéraire de Remy de Gourmont. Princeton University/PUF, 1962
Charles Dantzig, Remy de Gourmont. "Cher vieux daim!". Monaco, Éd. du Rocher, 1990 / éd. Grasset, 2008
Anne Boyer, Remy de Gourmont. L'écriture et ses masques. Paris, éd. Champion, 2002
Gourmont, sous la direction de Thierry Gillybœuf & Bernard Bois, Cahier de l'Herne, 2003
Actualité de Remy de Gourmont, sous la direction de Vincent Gogibu & Nicolas Malais, avant-propos de Denis Grozdanovitch, Collection "Les Cahiers", Clown Lyrique, 2008
Jean-Claude Larrat et Gérard Poulouin, Modernité de Remy de Gourmont, Caen, Presses Universitaires de Caen, 2010, 364 p.
Christian Buat, Remy de Gourmont, coll. "Qui suis-je?", Pardès, 2014 - (ISBN978-2-86714-482-0)
Frédéric Canovas,: «Le grand contempteur: Remy de Gourmont vu par Paul Léautaud.» Cahier Remy de Gourmont, sous la direction de Thierry Gillybœuf et Bernard Bois. Paris, L’Herne, 2003, pp.142–55.
Musique
André Caplet, Le Vieux Coffret, sur des poèmes de Rémy Gourmond (1914–1917)
Remy de Gourmont, «De la fécondité littéraire. À propos de M. Paul Adam», Promenades littéraires. [Première série]. Mercure de France, Paris, 1929, p. 51-56.
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