Thérèse Maquet est nièce d'Auguste Maquet[2], collaborateur d'Alexandre Dumas. Morte à 33 ans, ses poésies sont éditées à titre posthume aux bons soins de Sully-Prudhomme qui l'avait conseillée à ses débuts[1].
Œuvre
Poésies posthumes, préface de Sully Prudhomme, A. Lemerre, 1892
L'amour captif, poésie de Thérèse Maquet, musique de Cécile Chaminade Enoch & sons, 1893[3]
Lui et elle, recueil de deux mélodies de Jules Massenet, poésies de Thérèse Maquet[4]
Les Belles de nuit, N°9 dans le troisième recueil de Mélodies de Jules Massenet, éditions Heugel, 1892
Beaux yeux que j'aime, N°15 dans le troisième recueil de Mélodies de Jules Massenet, éditions Heugel, 1892
Aux étoiles, Mélodie de Jules Massenet, éditions Hartmann, 1891
Idéal, N°1 dans le recueil de Quatre Mélodies oubliées de Jules Massenet, éditions Symétrie, Lyon, 2019
Bibliographie
Les Muses françaises: anthologie des femmes poètes, L. Michaud, 1908, p.392
Irène Chichmanoff, Étude critique sur les femmes poètes en France au XIXesiècle, Université de Berne, 1910, p.127
Robert Sabatier, Histoire de la poésie française du XIXe, volume 2, Albin Michel, 1976, p.553
Notes et références
D'après Alphonse Séché, Les muses françaises: Anthologie des femmes-poètes (1200-1891), Paris, Louis Michaud, (lire en ligne), p.392.
D'après Robert Sabatier, Histoire de la poésie française du XIXe siècle, vol.2: Naissance de la poésie moderne, Paris, Albin Michel, , 656p. (ISBN2-226-00428-9), «Les Créatrices», p.553
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