music.wikisort.org - Poète

Search / Calendar

Manuel Álvarez Ortega (né à Cordoue le – mort à Madrid le ) est un écrivain, traducteur et poète espagnol. Il est membre fondateur et directeur de la revue Aglae, répandue entre les années 1949-1954. Il mène à bien une grande partie de son œuvre à Madrid, ville où il s’installera en 1951.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

La mise en forme de cet article est à améliorer ().

La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le « wikifier ».

Comment faire ?

Les points d'amélioration suivants sont les cas les plus fréquents :

  • Les titres sont pré-formatés par le logiciel. Ils ne sont ni en capitales, ni en gras.
  • Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
  • Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
  • L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
  • Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
  • Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
  • Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil «  Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
  • Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
  • Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
  • Insérer une infobox (cadre d'informations à droite) n'est pas obligatoire pour parachever la mise en page.

Pour une aide détaillée, merci de consulter Aide:Wikification.

Si vous pensez que ces points ont été résolus, vous pouvez retirer ce bandeau et améliorer la mise en forme d'un autre article.

Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus.

Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » ().

Vous pouvez améliorer la vérifiabilité en associant ces informations à des références à l'aide d'appels de notes.

Manuel Álvarez Ortega
Biographie
Naissance

Cordoue
Décès
(à 91 ans)
Madrid
Nationalité
Espagnole
Formation
Université de Séville
Activités
Écrivain, traducteur, poète, vétérinaire
Fratrie
Rafael Alvarez Ortega (d)
Autres informations
A travaillé pour
Real Academia de Córdoba (d)
Membre de
Real Academia de Córdoba (d)
Site web
Distinction
Médaille d'Andalousie (d)

Biographie


Manuel Álvarez Ortega naît le 4 mars 1923 au numéro 4 de la rue Santa Victoria, dans la capitale cordouane. Il est le cinquième fils de Mariano Álvarez Berard et son épouse, Paula Ortega Soria. Son baptême a lieu le 6 avril 1923, à l’église du Salvador et Santo Domingo de Silos. Il est le frère du peintre et poète Rafael Álvarez Ortega. En l’année 1935, il intègre le collège provincial comme élève, où il fait la connaissance de Luis Jiménez Martos, parmi la rencontre d’autres belles amitiés. En 1942, après le Baccalauréat, il fait ses études supérieures de vétérinaire, à la Faculté de Cordoue — laquelle, auparavant, aurait appartenu à l’Université de Séville —. En 1951, il devient vétérinaire, après avoir passé le concours de l’Académie de Santé Militaire à Madrid. Néanmoins, en 1972 Álvarez Ortega renonce à cette charge publique, laquelle prétendument devait lui seoir bien, vu l’éclosion de son étape marquée par le ton des « Services Civils » (où il exerce en tant que commandeur vétérinaire), et car sa puissante volonté le conduit à se consacrer entièrement à la littérature. Il décède le 14 juin 2014, à l’âge de 91 ans.


Parcours littéraire


Le mois d’avril de l’année 1948 il devient méritoire de reconnaissance grâce à la parution de son premier livre, La huella de las cosas (une sélection de poèmes écrits entre 1941 et 1948 et édités par lui-même, à Cordoue). Une année plus tard, également en avril et sans tarder, le premier numéro de la revue Aglae, présenté sous forme d’anthologie, voit le jour. Ensuite, en mars 1950, son deuxième livre, Clamor de todo espacio, est publié, introduit dans la (ici dite) collection Aglae. Quatre annuités plus tard (1954), l’œuvre Hombre de otro tiempo est derechef publiée par ce même sceau, tandis que le mois de décembre de cette date Álvarez Ortega est nommé finaliste du prix Adonais, avec son recueil de poèmes Exilio, publié l’année suivante. En 1955, conjoint avec José García Nieto, López Anglada, Leopoldo de Luis, Ramón de Garciasol et d’autres intellectuels, il échafaude la collection Palabras y Tiempo, rattachée à la maison d’édition Taurus.

En 1960, à la suite de la traduction de Crónica (Saint-John Perse), et en raison de la publication d’un numéro extraordinaire de la revue Poesía española, laquelle rend hommage au distingué du prix Nobel à l’époque, il se plonge dans une étape de traduction immuable: une mer qui baignera son corps, éduquera son âme et galvanisera son souffle jusqu’à la fin de sa vie. Parmi d’autres auteurs, il traduira la voix poétique de René Char, Bataille, Bonnefoy, Jaccottet, Desnos, Tzara, Artaud, Michaux, Aragon, Ponge, Leiris, Queneau, Senghor, Lanza de Vasto, Péret, Éluard, Laforgue, Breton, De La Tour du Pin, Jarry, Lautréamont, Oscar Milosz ou Apollinaire.

En avril 1962, une nouvelle parution est signalée: celle de ses œuvres Dios de un día et Tiempo en el Sur, appartenant à un seul volume, dans la collection « Palabra y Tiempo », par Taurus, respectivement. En décembre 1963, il obtient l’accessit du prix Adonais, à bonne enseigne du livre Invención de la muerte, divulgué deux mois après. Le mois de septembre de l’année 1964 il collabore quant à l’écriture de l’anthologie Poesía contemporánea, publiée chez Aguilar. Après celle-ci, d’autres créations émérgeront aux yeux lecteurs, portant haut et fort la puissance d’un remarquable succès : Poesía francesa contemporánea (1967), avec laquelle il est lauréat au Grand prix national de traduction ; Poesía simbolista francesa (1975) et Veinte poetas franceses del siglo veinte (2001). Le mois de mai 1967 il apporte sa pierre à l’édifice de « Televisión Española », tout en s’adhérant au programme El oro del tiempo, dirigé par le poète José García Nieto. Préalablement à cette coopération, il avait eu part à El alma se serena, une autre émission télévisée de la chaîne mentionnée (« Televisión Española »), dirigée par le chantre Juan Van-Halen. Cette même année, la parution de deux titres d’Álvarez Ortega est pareillement mémorable: Despedida en el tiempo et Oscura marea symbolisent cette cérise sur le gâteau comme assaisonnement d’une création prolifique. Le mois de décembre, son œuvre règne à bon escient dans la scène théâtrale : Fábula de la Dama y los alpinistas est dramatisée en un seul acte. Concernant Oficio de los días et Reino memorable, il s’agit de parutions datées du 1969. En 1972, le poète publie Carpe diem et, chez Devenir, son Antología Poética (1941-71) surgit, avec un préface dont Marcos Ricardo Barnatán prend la plume. L’année suiveuse de cette parution, Tenebrae éclore comme cahier spécial de la revue Cuadernos Hispanoamericanos, et en janvier 1975 Génesis jaillit, chez Visor.

Après le fleurissement de plusieurs œuvres mineures (Fiel, infiel ; Escrito en el Sur ; Templo de la mortalidad ; Lilia culpa ou Sea la sombra), en 1988 se dévoile Gesta, et en 1990 Código ressort. L’on ne peut négliger que, dans les deux cas, les parutions ont lieu grâce à Devenir, maison d’édition dirigée par Juan Pastor. En 1992, Álvarez Ortega publie en livre et cassette — sa voix en devient le sceau — Génesis, chez Ediciones Portuguesas. L’année ultérieure, Liturgia bourgeonne, tandis qu’Intratexto se fraye un chemin (textuel, en guise de redondance) en 1977 (œuvres pareillement parues chez Devenir). En avril 1998, cette même édition lance un livre-hommage, Dedicatoria, où des ballades de nombreux poètes amis et une étude évasée de son œuvre y afférent rayonnent. En 2001, sa candidature pour l’Académie suédoise est proposée et conséquemment acceptée, pour la première fois, pour le prix Nobel. Subséquemment (2002), Desde otra edad fait irruption dans le panorama littéraire, avant une seconde candidature pour le prix Nobel, en 2003. Ensuite, l’année 2005 est marquée par la publication de Despedida en el tiempo. Antología poética (1971-2001), œuvre éditée par Marcos-Ricardo Barnatán. L’année 2006, son œuvre poétique [Obra poética (1941-2005)] est publiée chez Visor, et un an plus tard Devenir édite Antología Poética (1941-2005). Dans cette même date, la parution d’Adviento est émérite, pendant qu’en 2007 Mantia Fidelis sera un ouvrage saillant, publié chez Huerga y Fierro. Les deux derniers recueils de poèmes parvenus à la connaissance du public ont été Cenizas son los días (Devenir, 2010) et Ultima necat (Abada, 2012).


Fondation Manuel Álvarez Ortega


Le mois de novembre de l’année 2015 la Fondation Manuel Álvarez Ortega a été constituée – fmao.es —, avec signature devant notaire des statues fondateurs, selon la volonté exprimée, au fil de la plume (dans un sens littéral et métaphorique) par le poète et traducteur cordouan. Le Patronat de la Fondation, présidé par Juan Pastor, exécuteur testamentaire, ligué à Jaime Siles et Margarita Prieto, compte sur les contributions de personnalités importantes, telles que lesdits Antonio Colinas, Marcos Ricardo Barnatán, César Antonio Molina, Fanny Rubio et Margarita Prieto (secrétaire). Le but de cette entité consiste à appuyer la conservation, l’étude et la diffusion des fonds documentaires, bibliographiques, picturales et épistolaires d’Álvarez Ortega. Le mois de juin 2021, la collection de fonds bibliographiques et archivistiques de la Fondation Álvarez Ortega a été déposée à l’Université de Cordoue. Cet héritage contient, parmi d’autres matériaux, la correspondance de l’auteur et d’œuvres toujours inédites, comme élan d’un sentier où, reposant au cœur des lettres, Álvarez Ortega se laisse enfermer par l’intime et infini voyage que les mots lui offrent, pour ainsi s’ériger : une indomptée sagesse jaillit de sa création.


Poésie



Essai



Théâtre



Enregistrements



Anthologies



Traductions



Translations de ses œuvres



Livres portant sur son ouvrage



Études de cas dans des revues spécialisées



Lauréats



De glorieuse mémoire : les traces du semé



Notes et références


Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?

    Bibliographie



    Sources



    Liens externes



    На других языках


    [de] Manuel Álvarez Ortega

    Manuel Álvarez Ortega (* 4. März 1923 in Córdoba; † 14. Juni 2014 in Madrid) war ein spanischer Schriftsteller, Übersetzer und Dichter. Er war Gründer und Herausgeber der zwischen 1949 und 1954 erschienenen Zeitschrift Aglae. Ein Großteil seines Werkes entstand in Madrid, wo er ab 1951 lebte.
    - [fr] Manuel Álvarez Ortega



    Текст в блоке "Читать" взят с сайта "Википедия" и доступен по лицензии Creative Commons Attribution-ShareAlike; в отдельных случаях могут действовать дополнительные условия.

    Другой контент может иметь иную лицензию. Перед использованием материалов сайта WikiSort.org внимательно изучите правила лицензирования конкретных элементов наполнения сайта.

    2019-2024
    WikiSort.org - проект по пересортировке и дополнению контента Википедии